Le marché automobile belge évolue à grande vitesse. Plus de voitures électriques, de nouvelles règles fiscales et une vague de nouveaux modèles rebattent complètement les cartes. Au premier semestre 2025, 234 616 nouveaux véhicules ont été immatriculés, soit -10,9 % par rapport à 2024. Fait marquant : les particuliers prennent une part plus importante du marché (45,4 %), tandis que les entreprises reculent à 54,6 %. Les voitures 100 % électriques progressent le plus rapidement et atteignent 32,8 % de parts de marché (source : FEBIAC).

Qu’est-ce que cela signifie pour les marques de voitures populaires ? BMW reste numéro un en Belgique au premier semestre 2025 avec 11,2 % de parts de marché. Volkswagen suit (9,5 %), puis Mercedes-Benz (7,2 %) et Audi (6,9 %). Les constructeurs plus abordables gagnent aussi du terrain : Dacia occupe la cinquième place avec 6,6 %, devant Renault et Peugeot (source : newmobility.news).

Autre tendance : toutes les marques de voitures électriques ne progressent pas au même rythme. Tesla reste très présente dans le paysage, mais a clairement perdu des parts de marché en Belgique au premier trimestre. Le marché devient plus diversifié, et des concurrents comme Hyundai, Kia et Toyota mettent en avant leur fiabilité ainsi que leurs solutions hybrides et électriques performantes (source : Dataforce).

Pour ce classement, nous utilisons les chiffres officiels d’immatriculations de voitures particulières (M1). Ces données proviennent de la DIV et sont vérifiées et publiées chaque mois par la FEBIAC. Nous établissons le classement sur base des immatriculations cumulées en 2025, en nous concentrant sur le premier semestre afin d’obtenir une image stable du marché.

Pourquoi la FEBIAC ? Parce qu’elle constitue la source de référence pour les chiffres par marque et par modèle en Belgique, avec des définitions claires et une segmentation précise par canal (particuliers vs. professionnels). Leurs mises à jour mensuelles tiennent compte des jours ouvrables et des effets saisonniers, ce qui permet de comparer des données homogènes.

Les sociétés de leasing ont un poids important dans notre marché. C’est pourquoi nous complétons le classement avec les analyses sectorielles de Renta et des études indépendantes sur la part des véhicules de société. Cela permet d’éviter les distorsions dues à des actions ponctuelles ou à des immatriculations tactiques. En 2024, environ 60 à 62 % des nouvelles voitures étaient des véhicules de société, un facteur qui influence inévitablement les marques de voitures les plus présentes en tête de classement.

• Prix et coût total de possession (TCO): Le prix catalogue ne fait pas tout. Le tarif de leasing, la consommation, la valeur résiduelle et la déductibilité fiscale déterminent si une marque de voiture est massivement choisie. Les entreprises optimisent ces paramètres, tandis que les particuliers privilégient des modèles bien positionnés en prix.

• Fiabilité: Les marques de voitures fiables sont naturellement préférées. Les conditions de garantie, les statistiques de pannes indépendantes et la technologie éprouvée pèsent lourd dans la décision. L’objectif est de disposer d’un véhicule prêt à rouler chaque jour, sans mauvaises surprises.

• Offre de modèles électriques: Une gamme large et abordable en véhicules électriques (et de bonnes options hybrides rechargeables ou hybrides classiques) attire aussi bien les flottes que les particuliers. L’électrification du parc automobile s’est accélérée au premier semestre 2025, donnant un avantage aux marques avec une forte offre en voitures électriques.

• Offres de leasing et disponibilité: Les marques de voitures populaires travaillent en étroite collaboration avec les loueurs : tarifs mensuels compétitifs, délais de livraison rapides et packs de services transparents. Cela peut propulser une marque dans le haut du classement.

• Service après-vente et réseau: Un réseau dense de concessions et d’ateliers, des prix d’entretien corrects et une bonne disponibilité des pièces renforcent la confiance. Pour des constructeurs comme Hyundai, Kia, Toyota, Tesla et autres, c’est un facteur déterminant pour séduire ceux qui recherchent une expérience de conduite sans souci.

Le marché automobile belge est en constante évolution, mais certains noms reviennent année après année dans les statistiques de vente. Selon les données d’immatriculation les plus récentes de la FEBIAC (premier semestre 2025), ces 10 marques de voitures populaires continuent de dominer le paysage belge. Leur succès repose sur une combinaison de modèles solides, d’une réputation fiable et d’une offre adaptée à la transition vers les véhicules hybrides et électriques.

Consultez le tableau complet de toutes les marques et leur part de marché dans ce tableau de la FEBIAC.

En 2025, BMW reste le choix le plus populaire en Belgique. La marque séduit particulièrement les conducteurs professionnels grâce à son image premium et à une large gamme de modèles électriques, hybrides et thermiques. Les incontournables incluent la BMW iX1, la BMW i4 et la Série 3 hybride. BMW allie performances sportives et technologie avancée, ce qui attire autant les clients en leasing que les particuliers.

Volkswagen demeure une valeur sûre, combinant une excellente réputation auprès des particuliers et une forte présence dans le secteur du leasing. Des modèles comme la Golf, l’ID.4 électrique et le Tiguan séduisent un public large. La marque propose aussi bien des moteurs thermiques fiables que des véhicules électriques innovants, offrant ainsi une option adaptée à presque tous les profils.

Mercedes-Benz réussit à associer luxe et technologie. La Classe C reste très demandée, tandis que les modèles électriques comme l’EQB et l’EQE gagnent du terrain auprès de ceux qui souhaitent rouler sans émissions, sans renoncer au confort. La marque est solidement implantée sur le marché des particuliers comme sur celui des professionnels.

Présente en force dans le segment premium, Audi est plébiscitée par les clients fleet. Le Q4 e-tron est l’un des SUV électriques les plus populaires en Belgique, tandis que l’A3 reste appréciée comme compacte haut de gamme pratique. Audi investit massivement dans l’électrification tout en conservant son ADN sportif.

Dacia continue de progresser grâce à son rapport qualité-prix imbattable. Des modèles comme la Sandero et le Duster sont prisés des familles et des acheteurs soucieux de leur budget. La marque privilégie la simplicité et la robustesse, tout en développant des motorisations plus efficientes.

Renault combine des citadines populaires avec des options électriques abordables. La Clio et le Captur restent des valeurs sûres, tandis que la Mégane E-Tech Electric positionne la marque solidement dans le segment EV. Renault cible clairement les familles et les conducteurs urbains recherchant une électrification accessible.

Ces dernières années, Peugeot a connu une forte croissance, notamment grâce à l’e-208 et au nouveau 3008 (disponible aussi en version électrique). La combinaison d’un design attractif, d’une technologie fiable et d’un bon rapport qualité-prix rend Peugeot particulièrement apprécié.

Toyota est réputée pour sa fiabilité et son rôle de pionnier en matière de technologie hybride. La Corolla, le Yaris Cross et le bZ4X électrique permettent à la marque de bien se positionner tant auprès des familles que des conducteurs professionnels. Toyota continue de miser sur un mix entre hybrides et modèles 100 % électriques.

Volvo allie design scandinave et sécurité, avec un engagement fort pour l’électrification. Les XC40 Recharge et C40 séduisent les acheteurs de voitures électriques, tandis que les SUV hybrides restent populaires auprès des familles et des professionnels.

Kia propose une gamme large qui répond à des besoins variés. Avec sa garantie de sept ans, des modèles comme l’EV6 et le Niro, et des prix compétitifs, Kia est devenue une valeur sûre pour de nombreux ménages belges.

Le marché automobile belge en 2025 a une tout autre allure qu’il y a cinq ans. Non seulement à cause de nouveaux modèles, mais surtout en raison de la manière et des raisons qui guident nos choix. Les chiffres de la FEBIAC et les analyses de marché mettent en évidence trois tendances majeures qui influencent fortement la liste des marques de voitures les plus populaires.

Les voitures électriques ne sont plus un marché de niche. Au premier semestre 2025, 32,8 % de toutes les nouvelles immatriculations concernaient des modèles 100 % électriques. Les hybrides restent populaires, notamment auprès de ceux qui parcourent beaucoup de kilomètres mais ne souhaitent pas encore passer complètement à l’électrique. Les marques de voitures offrant une large gamme de véhicules électriques abordables – comme Volkswagen, BMW, Hyundai et Kia – voient leur part de marché progresser.

La fiscalité liée aux véhicules de société reste un facteur déterminant. Les voitures électriques sont fiscalement plus avantageuses pour les professionnels, ce qui permet aux marques disposant de bonnes conditions de leasing et d’un TCO (coût total de possession) compétitif de se classer haut. BMW, Mercedes-Benz et Audi en bénéficient, tout comme Toyota et Peugeot avec leurs gammes hybrides et électriques.

Les SUV restent le type de carrosserie préféré des acheteurs belges. Les modèles compacts et de taille moyenne sont particulièrement prisés : ils offrent de l’espace, du confort et une position de conduite surélevée, sans consommation excessive. En haut des ventes, on retrouve donc de nombreux SUV, tels que le Volkswagen Tiguan, le BMW X1, le Peugeot 3008 et le Tesla Model Y.

En résumé, en 2025, la popularité ne se limite pas à la notoriété d’une marque de voiture : tout dépend de la capacité d’un constructeur à répondre à la transition vers l’électrique, à la réalité fiscale et à l’attrait durable des SUV. Cela explique pourquoi certaines marques progressent de façon surprenante, tandis que d’autres perdent du terrain.

La popularité est une chose, mais la fiabilité pèse tout autant dans le choix d’une nouvelle voiture. En Belgique, où les conducteurs – qu’ils soient en leasing ou particuliers – gardent souvent leur véhicule plusieurs années, l’image de marque joue un rôle important. Une voiture fiable signifie moins de frais imprévus, moins de temps passé au garage et davantage de tranquillité d’esprit.

D’après des études internationales sur la fiabilité, telles que celles de JD Power et de l’ADAC, certaines marques figurent régulièrement en tête de classement. Toyota est une référence depuis des décennies, notamment grâce à sa technologie hybride robuste.

Hyundai et Kia impressionnent avec leurs longues garanties (jusqu’à 7 ans) et leur qualité constante, même pour les voitures électriques. BMW et Mercedes-Benz allient finition premium et technologies moteur et batterie durables, ce qui en fait également des choix sûrs pour le marché professionnel.e keuze gelden.

Les voitures électriques possèdent moins de pièces mobiles que les moteurs à combustion, ce qui signifie en théorie moins d’entretien. Toutefois, il existe des différences. Des marques comme Tesla, Hyundai et Kia ont démontré que leurs motorisations électriques peuvent parcourir des milliers de kilomètres sans problème. Toyota fait ses premiers pas dans le segment EV avec le bZ4X, mais capitalise sur sa réputation de solidité acquise dans le domaine des hybrides.

Une voiture est un investissement important. Que vous achetiez ou louiez, choisir un modèle fiable permet de réaliser des économies à long terme. Moins de réparations imprévues signifient un TCO plus faible et davantage de satisfaction. De plus, une marque de voiture réputée pour sa fiabilité inspire confiance lors de la revente, ce qui se traduit souvent par une valeur résiduelle plus élevée.

Vous savez désormais quelles marques de voitures dominent le marché belge. Mais comment traduire ces informations dans votre propre choix ?

Avant tout, il est important de définir votre profil de conducteur. Parcourez-vous beaucoup de kilomètres par an ou surtout de courtes distances ? Utiliserez-vous votre véhicule à titre privé ou via une formule de leasing ? Si vous roulez beaucoup et que vous avez accès à des bornes de recharge, une voiture électrique peut être un choix pertinent. Lisez par exemple aussi notre article sur la recharge des voitures électriques pour savoir quelles vitesses de charge et quels réseaux conviennent le mieux à votre situation.

Ensuite, votre budget joue un rôle essentiel. Ne vous limitez pas au prix d’achat : prenez en compte l’ensemble du coût, y compris l’entretien, l’assurance, la consommation et la valeur résiduelle. Notre guide sur le calcul des chevaux fiscaux vous aide aussi à estimer l’impact fiscal.

Enfin, effectuez toujours un essai routier. Les chiffres et les classements sont utiles, mais ce n’est qu’au volant que vous saurez si un véhicule vous convient vraiment. Soyez attentif au confort, à la visibilité, à l’ergonomie et au comportement routier. N’hésitez pas à prendre rendez-vous avec un concessionnaire pour organiser un essai ou un entretien personnalisé, afin de bénéficier d’un service adapté à vos besoins.

Le classement des marques de voitures les plus populaires en Belgique en 2025 en dit long sur les tendances, les technologies et les préférences des clients. L’électrification, les offres de leasing compétitives et la fiabilité sont des facteurs clés pour figurer en tête. Mais, au final, tout dépend de vos besoins spécifiques.

Que vous optiez pour une marque premium comme BMW ou Mercedes, un constructeur polyvalent comme Volkswagen ou Peugeot, ou un spécialiste innovant des véhicules électriques comme Tesla ou Hyundai, assurez-vous que la voiture corresponde à votre style de conduite, à votre budget et à vos attentes.

À la recherche d’inspiration pour votre prochain véhicule ? Consultez notre offre actuelle de voitures d’occasion sur Carselect Touring ou lisez notre article conseil sur les voitures électriques les moins chères pour découvrir quels modèles offrent le meilleur rapport qualité-prix.

De cette façon, vous ferez un choix réfléchi et prendrez le volant d’une voiture qui n’est pas seulement populaire sur le papier, mais qui correspond aussi parfaitement à votre mode de vie.

« Vendre voiture sans contrôle technique » : cela peut sembler un raccourci vers une vente rapide, mais en réalité, la situation est un peu plus complexe. Le contrôle technique belge est devenu plus strict ces derniers temps, les délais d’attente dépassent souvent trois semaines, et les acheteurs professionnels du marché d’exportation se ruent sur les voitures plus anciennes présentant des défauts. Résultat : de plus en plus de particuliers flamands se posent la question suivante : puis-je vendre ma voiture sans contrôle technique, et comment m’y prendre légalement ?

Dans cet article, vous découvrirez comment vendre votre véhicule non contrôlé en toute sécurité et en respectant la loi, sans mauvaise surprise après la transaction. Nous vous guidons à travers cinq scénarios de vente parfaitement légaux, vous expliquons quels documents sont obligatoires malgré tout, et montrons pourquoi vendre une voiture sans contrôle technique n’est pas toujours un raccourci – mais peut devenir un choix malin, à condition de bien s’y prendre.

Vous avez finalement décidé de vous rendre au contrôle technique ? Consultez alors notre guide complet : « Contrôle technique en Belgique 2025 : règles, nouveautés et conseils de préparation ». Vous y trouverez toutes les infos utiles pour éviter pertes de temps et dépenses inutiles.

La règle de base est limpide : en Belgique, un véhicule immatriculé au nom d’un particulier doit passer au contrôle technique dans les deux mois précédant la vente. Pourtant, certaines exceptions apparaissent dans le Code de la route, mais aussi dans la pratique du marché de l’exportation. Ci-dessous, nous vous expliquons clairement ces nuances.

Attention : si le véhicule a été soumis à un contrôle complet il y a moins de deux mois et que vous disposez d’un certificat vert valable, un simple contrôle visuel (appelé aussi « contrôle administratif ») suffit pour la vente. Cela signifie que seuls les papiers et l’identité sont vérifiés, sans inspection technique complète. Cela permet de gagner du temps et d’économiser des frais lors d’une vente rapide.

Vous voulez en savoir plus sur la vente de voiture en Belgique ? Nos 8 conseils pour vendre votre véhicule en 2025 font toute la différence. Consultez notre guide complet.

Il est illégal de vendre une voiture non contrôlée directement à un autre particulier. L’acheteur ne pourra pas immatriculer le véhicule auprès de la DIV sans un certificat de contrôle technique valide, une Car-Pass et le formulaire rose. Vous restez donc juridiquement responsable de toutes les amendes, accidents ou taxes tant que la voiture n’est pas officiellement enregistrée à son nom. Conclusion : si vous voulez vendre votre voiture sans contrôle technique à un particulier, une seule option s’offre à vous : passer d’abord par le centre de contrôle ou choisir un autre canal de vente.

En cas de cession à un conjoint, un partenaire cohabitant légal ou un (petit-)enfant, et si la plaque d’immatriculation est conservée, aucun contrôle technique d’occasion n’est requis. Le transfert peut alors se faire directement via l’assurance.

Cette exception est valable uniquement si :

• La plaque est au format européen (7 caractères) et est transmise telle quelle ;
• Le transfert se fait entre membres de la famille autorisés ;
• Aucune nouvelle plaque n’est demandée.

Si vous optez malgré tout pour une nouvelle plaque, un simple contrôle administratif suffit à la place du contrôle technique complet d’occasion.Professionele koper of erkende opkoper: de toegelaten uitzonderingen

La loi autorise bien la vente à un professionnel : concessionnaire de marque, marchand de véhicules d’occasion agréé ou acheteur certifié. Ces professionnels suivent souvent des procédures spécifiques pour l’achat de voitures non contrôlées. Ils disposent d’une « plaque marchand » (aussi appelée plaque Z) qui leur permet de transporter le véhicule sans devoir immédiatement le faire contrôler. La responsabilité pour le contrôle technique, l’immatriculation et d’éventuelles réparations est alors transférée contractuellement.

Lors d’une vente à un professionnel, vous devez rédiger un contrat mentionnant clairement ce transfert de responsabilité. Il vous sera demandé de présenter le certificat d’immatriculation. À noter : la Car-Pass n’est PAS obligatoire dans le cadre d’une vente à un acheteur professionnel du secteur automobile.

Pour la vente à l’exportation ou comme véhicule destiné à servir de pièces détachées, une autre règle s’applique. Un exportateur agréé peut charger la voiture sur une remorque et la faire sortir de Belgique sans contrôle technique récent. L’immatriculation étrangère aura lieu uniquement après un nouveau contrôle dans le pays de destination. En revanche, si vous vendez à un particulier qui “envisage peut-être” une exportation future, vous retombez dans l’illégalité : sans contrôle technique belge et Car-Pass, la vente reste interdite.

Voyons maintenant comment fixer correctement le prix d’un véhicule non contrôlé sans effrayer le marché… tout en gagnant la confiance des acheteurs professionnels.

Peut-être préférez-vous éviter toute discussion et simplement présenter votre voiture au contrôle technique. Dans ce cas, mieux vaut procéder intelligemment, car les délais s’allongent et un second passage coûte du temps et de l’argent.

1. Planifiez votre visite en dehors des heures de pointe : tôt le matin ou juste avant la fermeture, les files d’attente sont souvent réduites d’un tiers.
2. Prenez rendez-vous pour un « pré-contrôle » chez votre garagiste : pour environ 50 €, il repère les voyants, l’usure des pneus ou les codes d’erreur qui mènent inévitablement à une carte rouge. Cela vous évite la contre-visite (16,00 €) et un double déplacement
3. Budget total : comptez entre 50 € et 75 € pour la visite, 10,80 € pour la mise à jour de la Car-Pass et quelques éventuelles petites réparations. N’oubliez pas d’inclure d’éventuels frais supplémentaires comme une seconde visite dans votre estimation globale.

Si la validité du contrôle expire avant la vente, il faudra repasser au contrôle technique pour respecter la législation.

Dès que vous avez obtenu le certificat de visite verte, vous pouvez à nouveau vendre votre véhicule à un particulier dans un délai de deux mois. Prêt à parler paperasse ?

Sans contrôle technique récent, vous pouvez parfois passer, mais sans papiers en règle, vous n’irez nulle part. Cette checklist fait toute la différence entre une vente fluide et une voiture qui stagne des semaines sur votre allée.

• Car-Pass : document officiel garantissant le kilométrage du véhicule ; obligatoire uniquement pour les ventes entre particuliers ou de professionnel à particulier. PAS requis si un particulier vend à un professionnel (source : fgov).
• Certificat d’immatriculation (parties A & B) : nécessaire pour radier le véhicule et pour permettre au professionnel de le transporter. Vous devez le présenter au moment de la vente.
• Certificat de conformité (COC) : attestation que le véhicule a été approuvé pour la circulation dans l’UE. Il doit être remis à l’acheteur. Les professionnels l’exigent pour éviter tout problème d’exportation.

Si vous vendez à un exportateur, demandez le formulaire rose « demande d’immatriculation sans contrôle technique » au centre de contrôle. Vous pouvez également y obtenir une vignette spéciale prouvant que le véhicule a bien passé le contrôle technique. Cette vignette est généralement valable deux mois et doit être utilisée dans ce délai pour l’immatriculation.

Certains pays exigent également une vignette Euro ou une attestation LEZ. Ajoutez ces documents à votre dossier : cela augmente immédiatement la valeur de votre « vieille voiture » sur le marché international.

Les professionnels demandent souvent la première facture d’achat pour vérifier l’année de construction et le statut TVA. Si vous concluez la vente avec un acheteur particulier étranger, un contrat de vente bien rédigé est crucial pour votre propre protection juridique. Assurez-vous que le contrat mentionne clairement tous les détails importants, y compris l’état du véhicule et l’absence de contrôle technique.

Si vous n’avez pas le temps, ou simplement pas l’envie, de passer par le contrôle technique, vous vous posez vite la question : “Où puis-je vendre ma voiture sans contrôle technique ?” En Belgique, cinq options légales existent. Voici celle qui correspond le mieux à votre situation.

Le grand classique. Un acheteur professionnel, un marchand ou un concessionnaire disposant d’un numéro de TVA et d’une autorisation d’exportation achète le véhicule “dans l’état” et s’occupe de l’export. Ces marchands reprennent souvent un large éventail de véhicules, même sans contrôle technique. Vous fournissez la voiture, le certificat d’immatriculation et la Car-Pass. Le professionnel prend en charge le transport, les documents douaniers et le fameux formulaire rose. Le prix est généralement inférieur à la valeur du marché entre particuliers, mais vous gagnez du temps et évitez les amendes liées à une validité expirée. Idéal pour une vente rapide et sans tracas.

Des plateformes comme “nous-achetons-votre-voiture” ou “car-buyer” combinent une estimation en ligne avec un réseau de revendeurs agréés. Ces services mettent rapidement en relation l’offre et la demande, et vous permettent ainsi de vendre votre voiture sans contrôle technique. Vous indiquez la marque, l’année de construction et le kilométrage. Environ une heure plus tard, vous recevez une offre. Si vous l’acceptez, une dépanneuse vient chercher la voiture gratuitement, même si elle ne démarre plus.

La procédure est rapide : souvent conclue en 24 heures. Le paiement est effectué par virement bancaire avant que la voiture ne quitte votre rue. L’avantage ? Aucun contrôle technique ou transport à organiser. L’inconvénient : pas de négociation possible — c’est l’algorithme qui décide. Ce qui peut parfois jouer en votre faveur, mais pas toujours.

Si votre vieille voiture est en fin de vie ou rongée par la rouille, vous pouvez la confier gratuitement à un centre de recyclage agréé, parfois avec une prime à la clé. Vous recevez une attestation de destruction permettant de radier l’immatriculation auprès de la DIV, ce qui met automatiquement fin à votre taxe de circulation. La valeur est ici symbolique, mais vous vous débarrassez immédiatement de toute responsabilité.

Des sites comme BCA ou Autorola organisent des ventes aux enchères entre professionnels. Vous téléchargez 10 photos, précisez que le véhicule est “non contrôlé” et fixez un prix de réserve.

Le processus se déroule ainsi : si le prix de réserve est atteint, la plateforme gère la facture, le calcul de leur commission et le transport. Cette option permet souvent d’obtenir un meilleur prix qu’un rachat classique, mais il faut patienter quelques jours avant de recevoir l’offre finale.

Des jantes uniques, un moteur turbo essence rare ou une boîte de vitesses intacte peuvent valoir plus que la voiture complète. Dans ce cas, contactez un spécialiste ou un préparateur de la marque. Il démonte les pièces utilisables, vous paie en liquide ou par virement, et se charge de la cession administrative de l’épave. Assurez-vous que le contrat mentionne précisément quelles pièces sont concernées et dans quelles conditions. Ce marché est plus confidentiel, demande plus de recherche, mais peut s’avérer étonnamment lucratif.

Dès que l’acheteur et le vendeur s’accordent sur le prix de vente, il faut passer à l’argent… et à l’administratif. Le moyen le plus sûr reste le virement bancaire. Privilégiez un virement instantané : l’acheteur vous montre l’écran de confirmation sur place, vous vérifiez dans votre application bancaire que le montant est “en traitement”, et vous ne remettez les clés qu’à ce moment-là. Vous évitez ainsi les faux billets ou les chèques sans provision, et vous disposez immédiatement d’une preuve de paiement pour votre comptabilité.

Après le paiement vient la radiation : la preuve administrative que vous n’êtes plus propriétaire du véhicule. Rendez-vous ensemble au guichet DIV le plus proche ou utilisez le module en ligne via Mon e-gov. La radiation prend cinq minutes : vous remettez la plaque, recevez une attestation d’annulation, et décidez si vous souhaitez détruire la plaque ou la réutiliser plus tard. Dès cet instant, votre assurance prend automatiquement fin et la taxe de circulation vous est remboursée au prorata.

Vendre une voiture sans contrôle technique ne signifie pas que vous échappez à toute responsabilité après coup. Dans certains cas, vous risquez même une amende si vous ne respectez pas vos obligations légales — comme fournir un contrôle technique ou une Car-Pass lorsque c’est obligatoire. Il est donc essentiel de connaître les risques associés à la vente sans contrôle technique.

En Belgique, il n’existe pas de délai fixe de deux ans pour les vices cachés. L’acheteur doit signaler le défaut dans un “délai raisonnable” après l’avoir découvert. Combien de temps cela représente-t-il ? Cela dépend du cas, et c’est finalement le juge qui tranche.

N’oubliez pas non plus votre assurance. Un simple e-mail suffit souvent pour résilier le contrat, mais ne le faites qu’après la radiation effective de la plaque.

Et enfin, la taxe de circulation. Si vous vendez votre véhicule avant la fin de la période en cours, vous pouvez demander un remboursement via My Minfin ou au moyen d’un formulaire. Cela ne fonctionne que si la plaque est bien radiée. Sinon, vous continuez à payer des taxes pour une voiture que vous ne possédez plus.

Vendre une voiture sans contrôle technique n’est pas nécessairement illégal, mais cela exige de bien connaître les règles. Vous pouvez tout à fait vendre une voiture sans contrôle technique, à condition de suivre la procédure appropriée. Vente à un particulier ? Un contrôle valide est alors obligatoire. Vous préférez vendre sans passer par un centre de contrôle ? Dans ce cas, tournez-vous vers un professionnel, l’export, la casse ou la vente pour pièces.

Avec une Car-Pass, un certificat d’immatriculation, un contrat de vente clair et une radiation correcte de votre plaque, vous bouclez tout en toute sécurité et légalité. Ainsi, vous évitez les problèmes ultérieurs liés à la taxe de circulation, à l’assurance ou aux vices cachés.

Vous voulez savoir exactement à quoi faire attention lors de la vente de votre voiture ? Alors consultez sans attendre nos 8 conseils indispensables !

Les voitures neuves se font rares, les prix explosent et les délais de livraison s’allongent parfois bien au-delà d’un an. Pas étonnant que de plus en plus de Belges se disent : « Et si je vendais ma voiture tant qu’elle a encore de la valeur ? »

Parallèlement, un nombre croissant d’acheteurs recherchent un véhicule d’occasion fiable, car une voiture neuve est soit trop chère, soit livrée trop tard. Le marché de l’occasion est donc en pleine effervescence. Cela crée des opportunités… mais aussi des pièges pour toute personne qui souhaite vendre sa voiture aujourd’hui.

Dans cet article, vous apprendrez comment transformer l’idée vague de vendre votre voiture en un processus fluide et rentable. Vous découvrirez :

• comment estimer le prix de vente de votre véhicule sans vous faire de fausses illusions ;
• quels documents et contrôles sont absolument obligatoires en Belgique (pensez au Car-Pass et au contrôle technique) ;
• des astuces pour trouver des acheteurs fiables, en ligne comme hors ligne ;
• l’art de négocier en toute sécurité et de finaliser les formalités correctement ;
• et encore quatre autres étapes pratiques qui feront toute la différence entre stress… et succès.

En résumé : huit conseils concrets et immédiatement applicables pour vendre votre voiture d’occasion plus rapidement, plus sereinement et au meilleur prix.

Commencez avec des données concrètes, pas avec une intuition. Saisissez votre plaque d’immatriculation sur plusieurs sites belges d’estimation de voiture et notez la moyenne des évaluations. Ensuite, parcourez les annonces récentes sur Touring Carselect, AutoScout24, Gocar et 2ememain, et comparez uniquement les véhicules qui ressemblent vraiment au vôtre. Cela signifie : même année de mise en circulation, kilométrage similaire, même moteur et type de carburant.

Mais attention : ne regardez pas uniquement le prix de vente demandé. Vérifiez aussi depuis combien de temps le véhicule est en ligne. Une Golf identique, encore invendue après six semaines, révèle clairement un prix trop élevé. En quelques clics, vous construisez ainsi une base de prix réaliste pour vendre votre voiture sans fausse espérance.

Affinez ensuite votre estimation. Votre voiture dispose-t-elle d’options comme un toit panoramique, des phares LED ou un GPS intégré ? Avez-vous récemment changé la courroie de distribution ou effectué un grand entretien ? Ces éléments augmentent la valeur du véhicule. Rassemblez toutes les factures d’entretien dans un seul dossier, et précisez-les dans l’annonce :
“Carnet d’entretien complet disponible, jeu de pneus hiver inclus.”
Et n’oubliez surtout pas la saison : un cabriolet se vend beaucoup mieux au printemps, tandis qu’un SUV équipé de pneus hiver attire davantage en octobre. Grâce à ces ajustements, vous obtenez un prix juste qui séduit les acheteurs tout en respectant votre portefeuille.

Avec un prix de vente conforme au marché, votre annonce figurera rapidement parmi les favoris. Dans la prochaine étape, vous verrez comment des photos percutantes et une description honnête peuvent encore doubler l’impact de votre annonce.

Vous souhaitez vendre voiture sans contrôle technique ? Dans cet article, vous découvrirez comment procéder en toute légalité en Belgique.

Un acheteur potentiel décide en dix secondes si votre voiture d’occasion mérite un rendez-vous. Misez donc sur un nettoyage intérieur et extérieur méticuleux. Aspirez les sièges, dépoussiérez le tableau de bord, et passez un chiffon microfibre humide sur chaque bouton. Avec une brosse douce, nettoyez les grilles de ventilation : effet « voiture neuve » garanti.

Les petites réparations sont souvent rentables. Remplacez une veilleuse grillée, remplissez le lave-glace, et masquez les éclats de peinture avec un stylo retouche dans la couleur d’origine. Un jeu d’enjoliveurs brillants coûte à peine 20 €, mais donne à votre véhicule une allure plus premium.

Dès que la voiture brille, prenez des photos en plein jour. Tournez légèrement le volant pour un angle dynamique, ouvrez le coffre pour montrer l’espace, et pensez au compartiment moteur. En format 16:9, vos photos s’afficheront parfaitement sur smartphone – idéal pour ceux qui cherchent une voiture en ligne.

Plus vous êtes transparent, plus la vente est rapide. Placez ces documents dans une farde bien présentée :

• Car-Pass avec kilométrage correct
• Certificat d’immatriculation (partie rose + preuve de radiation)
• Certificat de contrôle technique + formulaire vert « Vente de gré à gré » (datant de moins de 2 mois)
• Certificat de conformité (COC) + carnet d’entretien
• Factures d’entretien récent, pneus ou éventuelles améliorations
• Double des clés + télécommande

Un acheteur rassuré par des informations claires et complètes négociera moins et fera plus facilement une offre sérieuse.

Votre voiture est désormais impeccable et tous les papiers sont prêts ? Parfait. Il est temps de rédiger une annonce percutante. Dans le prochain conseil, vous découvrirez comment choisir les bons mots et l’ordre des photos pour séduire les bons acheteurs dès le premier coup d’œil.

Une annonce sérieuse commence par des documents en ordre. Si vous souhaitez vendre votre voiture en Belgique, vous devez avoir trois documents clés avant même le premier rendez-vous avec un acheteur potentiel.

• Le timing est essentiel. N’effectuez le contrôle technique que lorsque votre annonce est quasiment prête. Le certificat de contrôle reste alors valable deux mois maximum pour une vente entre particuliers.

  Curieux de savoir comment se déroule le contrôle ? Consultez notre article complet sur le contrôle technique en Belgique. Vous y trouverez tout ce qu’il faut savoir pour 2025, expliqué simplement et prêt à l’emploi.

• Check rapide avant le départ : testez les feux, les essuie-glaces et la pression des pneus. Une voiture refusée au contrôle coûte du temps… et de l’argent.

• Demandez un contrôle pour vente. Précisez bien qu’il s’agit d’un contrôle en vue d’une cession ; le centre apposera alors l’autocollant de vente sur le véhicule et l’indiquera comme « prêt à être transféré

• Le Car-Pass est obligatoire en Belgique. Ce document atteste du kilométrage réel du véhicule et coûte environ 10 €. Sans lui, vous risquez une amende et, surtout, la méfiance des acheteurs.
• Vérifiez les données. Comparez les kilomètres mentionnés dans le Car-Pass avec ceux du carnet d’entretien. S’il manque une année, demandez à votre garage d’ajouter l’entretien manquant.
• Regroupez les papiers. Rassemblez le Car-Pass, le certificat de contrôle technique, et le formulaire rose bien connu (annexe 12) dans une seule chemise. C’est la preuve que tout est en règle.

En présentant tous ces documents de façon claire et complète, vous démontrez qu’aucun vice caché ne se dissimule sous le capot. Dans le conseil suivant, vous verrez comment les bonnes photos et une description honnête peuvent renforcer encore la confiance… et faire grimper les réponses à votre annonce.

Une voiture bien placée en prix ne se vend pas toute seule. Le canal par lequel vous concluez la vente influence le montant final, la rapidité de la transaction et la quantité de paperasse à gérer. En Belgique, on distingue globalement trois voies. La vente à un particulier passe souvent par une annonce ; les acheteurs privés sont parfois prêts à offrir un meilleur prix, mais exigent aussi un véhicule bien documenté et en bon état. Chaque option a ses avantages et ses limites.

Vendre à un particulier permet en général d’obtenir le meilleur prix. Cela se fait souvent via une annonce en ligne. Certains acheteurs particuliers sont prêts à proposer plus qu’un professionnel, surtout si la voiture est bien entretenue. Mais cette méthode implique aussi de rédiger soi-même l’annonce, répondre aux questions, organiser les essais et négocier le prix. Vous devrez gérer le contrat de vente et planifier le rendez-vous pour l’essai. C’est la solution la plus rentable, mais aussi la plus exigeante en temps et en implication.

Prévoyez une rencontre dans un lieu public et sécurisé, demandez une pièce d’identité et privilégiez un virement bancaire avant de remettre les clés. Mentionnez dans le contrat que le véhicule est vendu « en l’état connu », pour éviter toute contestation après coup.

Pas envie de gérer des appels, des rendez-vous ou des négociations ? Vous pouvez vendre directement à un concessionnaire ou garagiste agréé, surtout si vous souhaitez en profiter pour acheter un nouveau véhicule.

Vous vous rendez sur place, le professionnel inspecte la voiture et vous fait rapidement une offre. Le prix sera généralement plus bas que sur le marché privé, car le professionnel doit inclure sa marge et respecter la garantie légale. Mais toute l’administration est prise en charge, du contrôle technique au certificat de cession. C’est l’option la plus simple et la plus rapide pour ceux qui privilégient la tranquillité.

Les plateformes de reprise en ligne gagnent du terrain. Vous encodez la marque, le kilométrage et les options, puis vous recevez rapidement une offre non contraignante. Certains sites proposent même une offre finale sous 24 heures. Si vous l’acceptez, une inspection est prévue. En l’absence de défauts majeurs, le prix est confirmé et le véhicule est enlevé dans la semaine.

Le processus est transparent, le paiement sécurisé et rapide. Attention cependant : si des dommages sont découverts, le montant peut être revu à la baisse. Assurez-vous donc que la plateforme collabore avec des partenaires belges reconnus, pour éviter les soucis administratifs liés aux plaques ou à la TVA.

Peu importe le canal choisi, vos documents doivent être en ordre. Une Car-Pass récente prouve l’historique kilométrique. Le certificat de contrôle atteste de l’état technique. Le formulaire rose, daté et signé, vous décharge de toute responsabilité en cas d’infraction après la vente. Ajoutez le carnet d’entretien et le certificat de conformité : cela rassure l’acheteur et montre que vous n’avez rien à cacher.

Faites signer un accusé de réception au moment de la remise : « Je reconnais avoir reçu le véhicule en bon état et avoir payé l’intégralité du prix convenu. » Cela clôture la transaction de manière claire et sans ambiguïté.

Avec le bon canal de vente défini, il est temps de rendre votre annonce irrésistible. Dans le prochain conseil, vous découvrirez comment des photos fortes et une description bien pensée attirent plus vite l’acheteur qu’il vous faut.

Un prix attrayant attire les curieux, mais c’est votre annonce qui les retient. Quand on vend une voiture d’occasion en ligne, on se retrouve en concurrence avec des centaines d’autres véhicules similaires. Il faut donc convaincre avec un texte accrocheur, des photos soignées et une touche de créativité.

Commencez par une courte introduction humaine qui résume clairement le profil du véhicule : « Peugeot 208 Allure économique de 2021, toujours entretenue chez le concessionnaire, seulement 42 000 km, essence. »

Expliquez ensuite honnêtement pourquoi vous vendez la voiture et quels avantages concrets le futur acheteur en tirera : entretien majeur récent, pneus neufs ou garantie rassurante fournie par le garage.

Intégrez des mots-clés que les acheteurs belges utilisent dans leurs recherches : « vendre voiture en ligne », « kilométrage vérifié via Car-Pass », « premier propriétaire ». Mais gardez un texte fluide, agréable à lire. La transparence agit comme un filtre : elle écarte les hésitants et instaure immédiatement la confiance chez les acheteurs sérieux.

Un acheteur potentiel décide en quelques secondes s’il clique ou continue à faire défiler. Prenez donc entre douze et quinze photos contrastées, en pleine lumière du jour, avec un fond neutre. Commencez par trois vues principales : de face, de dos et en biais. Enchaînez avec des gros plans de l’intérieur, du système multimédia, des jantes et du compartiment moteur. Montrez aussi de près les éventuelles traces d’usage : c’est un signe d’honnêteté et cela évite les discussions lors de la visite.

Utilisez toujours la même orientation : format paysage pour les sites web, format portrait pour les réseaux sociaux. Cela garantit un affichage net et cohérent. Ne retouchez pas trop vos images : un filtre visible peut donner l’impression que vous cherchez à dissimuler quelque chose.

Les statistiques de divers sites de vente montrent que la période la plus active s’étend du jeudi soir au dimanche après-midi. Publiez votre annonce juste avant cette période de pointe : elle apparaîtra en haut des résultats « plus récents » lorsque le trafic augmente.

Renouvelez votre annonce après sept à dix jours pour la remettre en avant. Certains sites permettent de le faire gratuitement, d’autres demandent une petite contribution.

Attirez également des visiteurs via vos propres canaux. Partagez le lien dans un groupe Facebook local ou envoyez-le à vos collègues et amis : le bouche-à-oreille reste le moyen le plus rapide de trouver un acheteur de confiance.

Avec une annonce irrésistible en ligne, il ne reste plus qu’à attendre les premiers contacts. Dans le prochain conseil, vous verrez comment organiser une négociation sécurisée, planifier un essai routier et finaliser la vente sans stress.

Une bonne annonce attire les candidats, mais c’est pendant l’essai routier qu’ils décideront s’ils veulent vraiment acheter votre voiture. C’est le moment où la confiance, la préparation et une stratégie de négociation claire font toute la différence.

Avant de parcourir le moindre kilomètre, demandez au visiteur de vous montrer sa carte d’identité et son permis de conduire. Notez les deux numéros sur une feuille et faites signer un document dans lequel l’acheteur potentiel reconnaît être temporairement responsable du véhicule. Cela vous protège en cas d’amende ou de dommages.

Mentionnez également toute réparation ou accident passé en toute transparence, pour éviter les malentendus sur l’état réel du véhicule.

Retirez vos objets de valeur, choisissez un lieu de départ fréquenté, et commencez par prendre le volant vous-même pour éviter les passages de vitesse maladroits ou un freinage brusque dès le départ.

Pendant l’essai, laissez le candidat conduire, mais restez à ses côtés pour commenter l’expérience : « Vous sentez comme la boîte automatique est fluide ? Écoutez le faible niveau sonore à 120 km/h. » Orientez l’attention vers les points forts du véhicule et montrez que vous n’avez rien à cacher. N’oubliez pas de faire une démonstration de la climatisation, du système multimédia et des capteurs de stationnement : ce sont des détails qui justifient un bon prix, voire évitent une contre-offre plus basse.

Dès que le moteur s’arrête, la négociation commence. Notez à l’avance votre prix minimum : cela vous évite de céder sous la pression ou le silence. Si l’acheteur propose directement un prix plus bas, remerciez-le poliment, rappelez les avantages (contrôle technique récent, historique d’entretien complet, jeu de pneus hiver) et expliquez que des modèles similaires sont affichés plus cher en ligne. Cela montre que vous connaissez la valeur du marché et évite les discussions sans fin.

Si l’offre est proche de votre prix cible, proposez un petit extra – par exemple un plein d’essence ou un second jeu de jantes – au lieu de baisser davantage le prix. Cela donne à chaque partie le sentiment d’un bon compromis et accélère la conclusion. Ne remettez les clés qu’une fois le contrat signé et le virement bancaire confirmé. L’argent liquide reste risqué et peut poser problème auprès de l’assurance.

Après l’essai et la négociation, vous êtes presque au bout du parcours. Dans le prochain conseil, vous découvrirez comment rédiger un contrat de vente sans faille – et éviter que des détails administratifs ne viennent gâcher la fin de la transaction.

Une fois le prix convenu, mieux vaut finaliser la vente aussi sereinement que possible. Sans nuits blanches à cause d’un paiement oublié ou de papiers incomplets.

L’option la plus simple et la plus sûre reste le virement bancaire. Demandez à l’acheteur de confirmer la transaction via son application bancaire, en votre présence. Privilégiez un virement instantané : le montant arrive sur votre compte en quelques minutes. Transmettez-lui votre IBAN, le prix de vente et une description claire (“Reprise véhicule + plaque”) pour éviter tout malentendu ultérieur.

Peut-on encore accepter du cash ? Oui, mais dans la limite légale de 3 000 € en Belgique. En cas de paiement en espèces, rendez-vous ensemble à la banque la plus proche pour déposer l’argent. Vous évitez ainsi les faux billets tout en montrant votre bonne foi. Une formule combinée est aussi possible : un acompte en cash, le solde via virement.

Dès que le paiement est effectué, remplissez ensemble le formulaire rose (formulaire DIV). L’acheteur garde l’original, vous conservez une copie. Ensuite, enregistrez le véhicule via WebDIV ou laissez le courtier d’assurance de l’acheteur activer l’immatriculation. Une fois l’inscription confirmée dans la base de données via WebDIV, le nouveau propriétaire est officiellement enregistré et vous êtes dégagé de toute responsabilité en cas d’amende ou d’infraction.

Votre véhicule a encore une ancienne plaque à votre nom ? Dévissez-la et donnez-la à l’acheteur s’il l’a déjà activée auprès de son assureur. Si l’acheteur opte pour une nouvelle plaque, rendez votre ancienne plaque à bpost ou déposez-la dans une boîte DIV : vous recevrez l’attestation officielle de radiation par e-mail.

L’administratif est réglé, mais une dernière étape reste essentielle : établir un contrat de vente clair, qui fixe noir sur blanc tous les accords. Touring y consacre un article pratique à ne pas manquer – poursuivez votre lecture et évitez les mauvaises surprises.

La vente est conclue, l’argent est sur votre compte, mais votre tâche n’est terminée que lorsque les autorités et votre assureur savent que vous n’êtes plus propriétaire. Ces démarches administratives sont obligatoires pour tous les véhicules immatriculés en Belgique. Grâce à ce plan par étapes, vous clôturez votre dossier en toute tranquillité et évitez les mauvaises surprises plusieurs mois plus tard.

L’acheteur repart-il avec votre plaque ? Cela signifie qu’il l’a reprise via WebDIV, ce qui reste exceptionnel en Belgique.

Dans tous les autres cas, vous devez retirer la plaque et la remettre dès que possible dans un bureau bpost ou la déposer dans une boîte aux lettres DIV à Bruxelles. Pour un véhicule retiré de la circulation, le retour de la plaque est obligatoire. Vous recevrez un “certificat de radiation” à votre nom. Ce document prouve que la plaque a été annulée et que vous n’êtes plus redevable de taxe de circulation à partir de ce moment.

Vous envisagez d’acheter une autre voiture dans l’année ? Vous pouvez alors réutiliser la même plaque. Gardez précieusement le certificat de radiation, et réactivez la plaque lors de l’immatriculation du nouveau véhicule – à condition de ne pas changer de courtier d’assurance.

Une fois l’immatriculation radiée, l’administration transmet automatiquement l’information au Service des impôts régional (Vlaanderen, Wallonie ou Bruxelles). Le remboursement du solde de la taxe de circulation ou de la taxe de mise en circulation (BIV) peut prendre quelques semaines. Vérifiez votre compte bancaire. Si rien ne vous est versé, contactez le service compétent avec votre certificat de radiation et votre contrat de vente en main.

N’oubliez pas d’annuler votre assurance auto dès que possible. Dans la plupart des cas, un simple e-mail avec le certificat de radiation en pièce jointe suffit. Vous aviez une omnium ? Demandez si une partie de la prime peut vous être remboursée.

La voiture est-elle partie à la casse au lieu d’être vendue ? Le centre agréé vous fournira alors un certificat de recyclage. Ce document est indispensable pour annuler l’assurance et les taxes, et pour prouver que le véhicule a été traité selon les normes environnementales en vigueur.

Avec un prix juste, un intérieur soigné, des documents en ordre – du Car-Pass au certificat de contrôle technique – et un processus de vente sécurisé, de l’annonce claire au paiement confirmé, vendre sa voiture devient une expérience fluide au lieu d’un casse-tête.

Suivez les huit conseils de ce guide, montrez aux acheteurs pourquoi votre voiture est un choix malin, et finalisez la vente en toute confiance tout en régularisant vos obligations administratives.

Prêt pour la suite ? Découvrez après la vente de votre véhicule notre large sélection de voitures d’occasion contrôlées sur Touring Carselect – et trouvez sans stress votre nouveau compagnon de route fiable.

Pas de files d’attente, aucune limite de bagages, aucun stress lié aux retards : les vacances en voiture vous offrent la liberté de voyager à votre rythme.

Que vous optiez pour un week-end improvisé ou un départ ensoleillé vers l’Italie, la France ou l’Espagne, les vacances en voiture sont idéales pour un séjour en famille. Elles offrent flexibilité et confort à tous les membres du foyer. Vous choisissez vous-même où faire une pause, ce que vous emportez et quelles destinations magnifiques vous explorez en chemin.

Dans cet article, vous découvrirez 10 astuces pratiques pour vivre des vacances en voiture fluides, sûres et inoubliables – de la vérification technique à la planification de l’itinéraire, en passant par les vignettes.

Prêt pour un départ sans stress ?

Que vous soyez en quête de soleil, de nature ou de culture, les vacances en voiture vous permettent de tout découvrir à votre propre rythme. D’un week-end dans les Ardennes à un séjour sous le soleil du sud de la France, la voiture vous offre une liberté qu’aucun vol ni trajet en train ne peut égaler. En plus, vous emmenez tout ce dont vous avez besoin sans souci : vélos, bagages, snacks, et même votre chien.

C’est pourquoi des destinations comme l’Italie, la France et l’Espagne restent particulièrement populaires auprès de ceux qui veulent partir en vacances en voiture. Facilement accessibles depuis la Belgique, elles vous réservent en chemin de superbes paysages, des haltes pleines de charme et des découvertes inattendues.

Les vacances en voiture, c’est la promesse d’un voyage placé sous le signe de l’aventure. Vous décidez où vous arrêtez, combien d’arrêts vous faites, et si vous préférez l’autoroute ou une route sinueuse à travers des collines vallonnées. Vous avez toujours vos affaires à portée de main, votre propre playlist dans les oreilles, et aucun stress lié aux limites de bagages ou aux portes d’embarquement.

Le camping, quant à lui, reste une option flexible et très appréciée des vacanciers, avec une large gamme d’équipements et la possibilité d’explorer les environs depuis votre point de départ.

Vous voyagez avec des enfants ? La voiture est souvent plus pratique que l’avion. Vous pouvez prévoir des pauses dans une aire de jeux ou une station-service accueillante pour un déjeuner rapide. Et pour les amateurs de calme comme pour les aventuriers actifs, c’est une excellente manière de profiter du voyage sans devoir sans cesse faire et défaire ses valises.

Les vacances en voiture les plus populaires vous emmènent des champs de lavande en Provence jusqu’à la côte amalfitaine en Italie, en passant par les plages ensoleillées d’Espagne. En route, vous traversez montagnes, baies, monuments historiques et villages pleins de charme. Votre voiture devient bien plus qu’un simple moyen de transport : elle est un allié tout au long de votre voyage.

Et pour bien commencer, rien ne vaut une voiture préparée avec soin. Dans les sections suivantes, découvrez les vérifications indispensables avant le départ, ce qu’il faut emporter pour les longs trajets, et comment prendre la route l’esprit tranquille vers vos prochaines vacances en voiture.

Pour partir en vacances en voiture sans stress, mieux vaut commencer par une vérification complète de votre voiture. Un petit check préventif permet d’éviter de gros soucis sur la route, surtout si vous avez plusieurs centaines de kilomètres à parcourir vers le sud ensoleillé ou les collines douces de la Toscane.

Vos pneus sont littéralement votre seul contact avec la route. Vérifiez donc non seulement la pression, mais aussi l’état général du profil et la présence de fissures. N’oubliez pas non plus votre roue de secours ou votre kit de réparation : rien de pire que d’être coincé sur la côte espagnole avec un pneu crevé.

À vérifier également :

• Niveau d’huile : un niveau trop bas peut endommager votre moteur.

• Liquide de refroidissement : essentiel pour éviter la surchauffe, surtout lors de vacances en voiture en Italie ou dans le sud de la France.

• Freins : si vous ressentez des vibrations ou entendez un grincement, un passage chez le garagiste s’impose.

• Essuie-glaces et liquide lave-glace : même sur les routes ensoleillées, un orage soudain ou un nuage de poussière peut gêner la visibilité.

Conseil en plus : vérifiez si votre équipement de sécurité est en ordre. Dans de nombreux pays, le gilet fluorescent, le triangle de signalisation et la trousse de secours sont obligatoires.

Vous avez un doute sur l’état de votre voiture ? Un petit entretien s’impose. C’est particulièrement recommandé si vous partez en vacances en voiture vers le sud de l’Europe et que vous prévoyez de parcourir plus de 1 000 kilomètres. Prévoyez cet entretien quelques semaines avant la date de départ. Cela laisse le temps de corriger d’éventuels problèmes et d’éviter le stress de dernière minute.

Imaginons que vous partiez bientôt en vacances en voiture, peut-être vers le sud de la France, l’intérieur de l’Espagne ou les côtes d’Italie. Dans ce cas, mieux vaut ne pas être pris au dépourvu par un souci technique, un accident ou une erreur administrative. Une bonne préparation commence par une assurance adaptée et une assistance dépannage bien réglée.

Chez Touring CarSelect, nous vous recommandons volontiers notre partenaire de confiance AG Insurance. Consultez leurs offres pour découvrir la formule qui correspond le mieux à votre situation.

Une assurance auto classique ne suffit pas toujours dès que vous franchissez une frontière. Vérifiez donc si votre couverture reste valable à l’étranger et dans tous les pays traversés pendant votre séjour. Pour un long trajet ou une voiture de valeur, une omnium étendue ou des garanties supplémentaires peuvent être une bonne idée.

Pensez aussi à :

• Une protection juridique, en cas d’accident avec litige sur la responsabilité

• Une assistance voyage, si vous ou un membre de votre famille tombez malade ou êtes victime d’un accident

• Une assurance bagages, pour votre coffre rempli de valises, poussettes ou matériel de camping

Cela représente un petit coût supplémentaire, mais c’est un vrai plus pour voyager l’esprit tranquille, surtout lors de vacances en voiture en Europe.

Gardez toujours votre carte verte (carte internationale d’assurance) avec vous. Elle peut être exigée lors d’un contrôle, d’un accident ou en cas de dégâts à l’étranger. Vérifiez qu’elle est bien valable pendant toute la durée du voyage.

Notez aussi le numéro d’urgence de votre assureur et de votre service d’assistance. Ils figurent souvent au verso de vos documents d’assurance ou de la carte verte.

Certaines formules d’assistance proposent également une voiture de remplacement, même à l’étranger. Idéal pour continuer votre séjour sans interruption, même en cas d’imprévu.

Une bonne préparation fait toute la différence entre un trajet serein et un stress inutile. Surtout lors d’un long voyage en voiture vers votre destination préférée en France, en Espagne ou en Italie, il est important que votre voiture soit non seulement en bon état technique, mais aussi équipée intelligemment.

Ce que vous devez absolument avoir à bord dépend du pays, mais certains équipements sont obligatoires dans presque toute l’Europe :

• Gilet fluorescent (pour chaque passager !)

• Triangle de signalisation

• Trousse de secours

• Paire de lunettes de rechange (en Suisse ou en Espagne si vous portez des lunettes)

• Vignettes ou pastilles environnementales (comme la Crit’Air pour les villes françaises)

Assurez-vous que ce matériel reste facilement accessible, par exemple dans la boîte à gants ou le coffre – et non sous une pile de bagages. Vous serez ainsi toujours prêt en cas de contrôle ou de panne.

Un trajet agréable ne se limite pas à la sécurité : le confort compte aussi. C’est encore plus vrai si vous partez avec des enfants, des amis, ou si vous prévoyez un long séjour vers le sud ensoleillé.

Pensez à emporter :

• Pare-soleil pour les vitres arrière, indispensables en cas de forte chaleur

• Glacière ou frigo électrique, pour garder de l’eau fraîche, des fruits ou le déjeuner à portée de main

• Batterie externe ou répartiteurs USB, pour que tout le monde puisse recharger son smartphone

• Coussins ou appuis-tête, parfaits pour une petite sieste en route

• Jouets, jeux ou tablette, pour garder les enfants calmes à l’arrière

Avec ces petits équipements, chaque kilomètre devient une partie des vacances.

Les vacances en voiture offrent une liberté totale. Mais chaque pays a ses propres règles et frais pour les voyageurs en voiture. Si vous partez vers la France, l’Espagne ou l’Italie, mieux vaut anticiper certaines formalités. Cela vous évitera bien des surprises – et des amendes – en cours de route.

En France, la majorité des autoroutes sont payantes. Vous les reconnaîtrez aux panneaux “péage”. Le pays compte aussi de plus en plus de zones environnementales (Zones à Faibles Émissions ou ZFE), accessibles uniquement avec une vignette Crit’Air valable. Cette vignette se commande en ligne et se colle sur le pare-brise.

En Espagne, beaucoup d’autoroutes sont désormais gratuites, mais ce n’est pas le cas partout. Dans des villes comme Madrid ou Barcelone, des zones à faibles émissions imposent des normes strictes : seuls certains véhicules, comme les voitures électriques ou économes, peuvent y circuler librement.

L’Italie applique un système de péage étendu, notamment sur les autoroutes (Autostrade). Dans des villes comme Florence ou Milan, on retrouve des “ZTL” (Zone à Trafic Limité), interdites sans autorisation. N’y entrez jamais sans y être autorisé, même si votre GPS vous y envoie : une amende est vite arrivée.

Attention : l’Autriche, la Suisse, ainsi que certains tunnels ou ponts dans d’autres pays exigent aussi une vignette spécifique ou un péage particulier. Vérifiez toujours ces informations bien avant votre départ.

Vous voulez en savoir plus sur les règles de vignettes en Suisse ou en Autriche ? Consultez notre article dédié au vignette Suisse et à la vignette Autriche.

Heureusement, vous n’avez pas à faire toutes ces démarches seul. Plusieurs applications et sites vous aident à commander vos vignettes ou pastilles environnementales dans les temps :

• TollGuru ou ViaMichelin : pour estimer vos frais de péage et de carburant

• CritAir.fr : pour commander votre vignette environnementale française

• Touring : pour un aperçu clair des vignettes, zones et règles par pays

• EasyPark : pour trouver facilement des places de parking en ville et sur la route

Un long trajet en voiture demande de la concentration et de l’endurance. En planifiant intelligemment vos arrêts en cours de route, vous restez attentif tout en transformant le trajet en une partie intégrante des vacances. Et c’est justement ce qui fait la beauté des vacances en voiture avec votre propre véhicule : vous roulez à votre rythme.

Choisissez des aires de repos proches de sites d’intérêt pour rendre le voyage encore plus agréable.

Rouler vers le sud ensoleillé ou à travers les collines de Toscane peut sembler facile, mais après quelques heures au volant, la fatigue vous guette sans même que vous vous en rendiez compte. Faire une pause régulièrement n’est pas un luxe, c’est une nécessité – pour vous et vos passagers. L’idéal est de s’arrêter toutes les 2 à 2,5 heures pendant au moins 15 minutes.

Un arrêt pour s’étirer, boire un verre ou profiter d’un beau paysage aide à garder l’esprit clair et améliore la sécurité. Vous voyagez avec des enfants ? Les moments de jeu en route sont indispensables pour que tout le monde reste de bonne humeur.

Une pause ne doit pas forcément se faire dans une station-service triste. Optez pour une halte qui ajoute quelque chose à l’expérience des vacances. Par exemple :

• Autoroute du Soleil en France : faites une pause juste après Lyon pour un pique-nique avec vue sur la vallée du Rhône

• Côte espagnole : suivez l’AP-7 et arrêtez-vous un instant en bord de Méditerranée à Tarragona ou Valence

• Col du Brenner en direction de l’Italie : admirez les Alpes autour d’Innsbruck ou Vipiteno

• Lac du Bourget (France) : juste à côté de l’autoroute, parfait pour une baignade rapide ou un pique-nique

Choisir un hôtel comme étape peut aussi offrir plus de confort et de services, rendant le trajet encore plus agréable.

En planifiant consciemment vos arrêts, vous transformez le trajet en une véritable aventure plutôt qu’en une course jusqu’à destination. Résultat : moins de fatigue, moins de stress, et une expérience de voyage plus riche.

Les vacances en voiture sont idéales pour les familles ou ceux qui voyagent avec un chien. Pas de limite de bagages, pas de files à la porte d’embarquement, et des arrêts quand vous le voulez. Mais un trajet agréable commence toujours par une bonne préparation.

Choisissez un logement avec des toboggans aquatiques pour garantir des heures de plaisir aux enfants.

Conseils pratiques pour la route

Long trajet ? Gardez une bonne ambiance grâce à ces astuces simples :

• Arrêtez-vous toutes les 2 à 3 heures, de préférence là où les enfants peuvent jouer

• Commencez le trajet par des jeux plutôt que par des écrans

• Évitez les pics de sucre : privilégiez les fruits ou des crackers

• Laissez votre chien se dégourdir régulièrement les pattes et ne le laissez jamais dans une voiture chaude

Un compagnon de route détendu rend les longues distances bien plus agréables pendant vos vacances en voiture.

Bien préparer son trajet, c’est arriver détendu. Une vacances en voiture, ce n’est pas seulement la destination : c’est aussi le plaisir de la route. En planifiant un itinéraire malin, vous gagnez du temps, évitez les bouchons et tombez parfois sur des trésors cachés.

Prévoir une étape citadine pendant vos vacances en voiture peut ajouter une touche culturelle à votre voyage.

Que vous partiez en vacances en voiture vers la France, l’Espagne ou l’Italie, une bonne application de navigation est indispensable. Voici nos recommandations :

• Google Maps : intuitive, à jour, avec infos trafic en temps réel

• Waze : parfaite pour éviter embouteillages, radars et déviations

• HERE WeGo : cartes gratuites et utilisables hors ligne, pratique dans les zones mal couvertes

• ViaMichelin : infos supplémentaires sur les péages et la consommation

• Komoot : idéale si vous prévoyez aussi de faire de la rando ou du vélo

Astuce en or : téléchargez vos cartes à l’avance, surtout si vous roulez vers les zones montagneuses ou le littoral méditerranéen, où le signal peut se faire rare.

Pendant les vacances d’été ou les longs week-ends, les routes européennes peuvent être bien chargées. Voici comment les éviter :

• Partez en dehors des heures de pointe : très tôt le matin ou après 19h

• Évitez les “samedi noirs”, surtout en France et en Italie

• Préférez parfois les routes régionales : plus calmes, souvent plus jolies aussi

• Utilisez des applis comme Flitsmeister ou Waze, qui signalent les radars et incidents

Et n’oubliez pas d’emporter une carte routière papier ou un itinéraire imprimé. Une batterie vide peut toujours arriver, une carte ne tombe jamais en panne.

Bien charger sa voiture, c’est rouler à la fois plus sûr et plus confortable. Pendant un long trajet, vous n’avez pas envie de chercher votre crème solaire ou vos snacks. Et en cas de freinage d’urgence, vous ne voulez surtout pas voir des objets voler dans l’habitacle.

Les objets lourds doivent toujours être placés au fond du coffre, au plus près des dossiers des sièges arrière. Pensez à :

• Valises

• Glacière

• Réserve d’eau ou de boissons

Les objets légers, comme les couvertures, vestes ou jouets, vont au-dessus. Tout ce dont vous aurez souvent besoin pendant le trajet (lunettes de soleil, chargeurs, en-cas, lingettes pour bébé) doit être rangé dans un sac ou un sac à dos à portée de main à l’avant.

Attention : les objets posés sur la plage arrière peuvent devenir dangereux en cas de freinage. Utilisez toujours un cache-bagages ou un filet pour tout maintenir en place.

Voici quelques astuces pour optimiser l’espace dans votre voiture :

• Préférez les sacs souples aux valises rigides : ils se glissent plus facilement dans les recoins

• Utilisez des boîtes de rangement sous les sièges ou dans le coffre

• Pensez à un coffre de toit si vous partez avec une grande famille ou plusieurs amis

• Vérifiez la charge maximale autorisée dans le manuel de votre voiture, surtout en cas de voiture pleine + coffre de toit

Et surtout : emportez uniquement ce qui est vraiment nécessaire. Voyager plus léger, c’est plus économique, plus confortable et plus agréable.

Vous partez en vacances en voiture vers le sud ensoleillé, comme l’Espagne ou l’Italie ? Dans ce cas, une climatisation en bon état est loin d’être un luxe. Même en France, les températures estivales peuvent grimper très haut.

Faites vérifier votre airco chaque année, surtout si votre voiture n’est plus toute neuve. Avant les vacances, pensez à :

• Recharger le liquide réfrigérant (R1234yf ou R134a)

• Vérifier le filtre (un filtre sale diffuse de mauvaises odeurs)

• Tester le système : pression, fuites, performance

Faites le test au moins une semaine avant le départ. Si vous remarquez que ça ne refroidit pas assez, prenez rapidement rendez-vous au garage. Vous éviterez ainsi le stress et les trajets étouffants le jour j.

Une bonne préparation commence par le plaisir de rêver à sa destination. Que vous soyez passionné de soleil, de culture, de nature ou de gastronomie, le bon choix de région vous permet d’adapter votre itinéraire à votre groupe. Ces trois vacances en voiture restent des incontournables pour les familles, les couples et les groupes d’amis belges.

Besoin d’inspiration pour vos prochaines vacances ? Ces idées de roadtrip mêlent liberté et lieux magnifiques.

La France reste la destination numéro 1 pour les vacances en voiture. Pas trop loin, abordable, et surtout incroyablement variée. Avec de nombreux appartements en bord de mer, c’est le choix idéal pour les familles en quête de vacances détente à la plage.

Parcourez les collines de Bourgogne, faites halte dans les villages de Dordogne ou roulez vers le soleil de la Provence. Une pause dans la vallée de la Loire ou sur la côte atlantique offre un vrai moment de déconnexion.

Sur la route, vous croiserez des marchés pittoresques, des champs de lavande et des sites historiques. Et si vous planifiez bien votre départ, vous évitez facilement les bouchons aux péages.

Vous rêvez de vacances en voiture en Espagne, sous le soleil, au bord de la mer turquoise, avec des tapas au menu ? Cap vers le sud !

Passez par le Pays basque ou la Catalogne pour rejoindre des lieux emblématiques comme la Costa Brava ou la Costa Blanca. Arrêtez-vous à Valence pour une paella en bord de mer, ou partez à la découverte de villages de montagne en Andalousie.

Avec votre propre voiture, c’est vous qui décidez du rythme : de plage en plage, ou à travers l’arrière-pays rempli d’oliveraies et de hameaux blancs. Le sud ensoleillé de l’Espagne vous surprendra à chaque virage.

Partir en vacances en voiture en Italie, c’est la promesse d’un voyage festif, entre culture riche et cuisine savoureuse. Commencez votre séjour dans le nord, au lac de Garde ou dans les Dolomites, puis descendez tranquillement vers le sud.

Faites escale dans des villes magnifiques comme Venise, Florence ou Rome, puis terminez votre périple au bord de la mer Méditerranée, face aux villages colorés de la Ligurie ou de la côte amalfitaine. En chemin, savourez pizzas croustillantes, espressos corsés et panoramas à couper le souffle. Les vacances en voiture en Italie combinent à merveille étapes actives et détente absolue en bord de mer.

L’Italie regorge aussi de charmants agriturismo, avec logement et petit déjeuner inclus. Parfait pour ceux qui aiment dormir chez l’habitant tout en découvrant la gastronomie locale.

Les vacances en voiture offrent ce qu’aucun autre type de voyage ne peut : liberté, confort et contrôle total sur votre itinéraire. Que vous partiez en famille, en couple ou avec votre fidèle compagnon à quatre pattes, avec ces 10 conseils, vous êtes parfaitement préparé pour profiter de chaque kilomètre.

Des vérifications techniques aux meilleures applis.

Et voilà, c’est parti!

Envie de liberté, d’aventure et de belles destinations vacances sans files d’attente ni correspondances ? Alors un roadtrip est exactement ce qu’il vous faut. Avec votre propre voiture, vous choisissez votre rythme, votre itinéraire et vos étapes préférées – des jolies villes côtières aux villages pleins de charme. Pas d’horaires de vol, pas de limites de bagages, juste partir quand vous en avez envie.

Dans cet article, découvrez pourquoi le roadtrip reste la meilleure façon d’explorer l’Europe, quelles routes vous ne pouvez pas manquer, et comment bien préparer votre voyage avec le véhicule adapté.

Prêt à prendre la route ?

Un roadtrip, juste après la frontière ou un peu plus loin ? C’est le moyen idéal de voyager à votre rythme. Pas d’horaires fixes, pas de files dans les aéroports, pas de stress à propos d’une correspondance manquée. Un voyage en voiture vous offre non seulement une liberté totale, mais transforme aussi le trajet lui-même en une partie intégrante de l’expérience.

Un roadtrip, c’est pour nous : s’arrêter quand et où vous voulez. Vous tombez par hasard sur un village pittoresque, une cascade cachée ou un point de vue à couper le souffle ? Il vous suffit de vous garer et d’en profiter. Grâce à votre propre véhicule, c’est vous qui fixez la route et le rythme. Que vous optiez pour des villes animées, des espaces naturels préservés ou des plages dorées, c’est vous qui êtes aux commandes.

Une autre avantage? Vous pouvez emporter tout ce que vous voulez. Snacks préférés, chaussures de randonnée, maillot de bain, ou même une table de pique-nique. Fini les galères de bagages à main ou les valises perdues.

Soyons honnêtes : voyager en avion ou en train n’a presque jamais été aussi cher. Les prix varient énormément, les bagages coûtent une fortune, et même un encas rapide peut peser lourd sur le budget. En choisissant un roadtrip en voiture, vous économisez rapidement. Surtout si vous êtes deux ou plus : vous partagez les frais de carburant, évitez les taxes aéroportuaires, et vous réduisez les coûts sur place.

Et puis, l’un des meilleurs aspects d’un voyage, c’est souvent le trajet lui-même. Les paysages ouverts, les routes de montagne sinueuses, les villages méconnus croisés par hasard… Ce sont ces imprévus qui rendent un roadtrip inoubliable.

Un roadtrip, ce n’est pas seulement une question de destination, c’est tout ce que vous vivez en chemin. Vous pourriez tomber sur un producteur local de fromage ou de charcuterie. Ou admirer un lac aux eaux turquoise depuis un point de vue déserté. Peut-être que vous finirez dans un marché animé d’une ville historique dont vous n’aviez jamais entendu parler.

Ces petits moments imprévus font toute la différence. Ils transforment votre voyage en une expérience personnelle, riche et unique. Et c’est précisément pour cela que de plus en plus de voyageurs choisissent à nouveau leur propre voiture comme compagnon de route idéal

Un roadtrip en France reste un grand classique pour de nombreux Belges. Et s’il y a une région qui combine tout – nature, culture, et histoire impressionnante – c’est bien la côte normande. Cet itinéraire est idéal pour ceux qui aiment les plages superbes, les villes historiques, et les monuments de guerre marquants.

Depuis la Belgique, il suffit de quelques heures pour rejoindre la Normandie. La région regorge de destinations vacances parfaites pour les amateurs de calme et de paysages naturels. On y trouve de longues plages sauvages, des falaises baignées de soleil, des villages de pêcheurs authentiques et des villes médiévales comme Honfleur et Bayeux.

La Normandie joue aussi un rôle majeur dans l’histoire de l’Europe. La région abrite de nombreux mémoriaux et cimetières militaires de la Seconde Guerre mondiale. Un passage par les plages du Débarquement, comme Omaha Beach, Utah Beach ou Juno Beach, laisse une impression inoubliable.

Et pour ceux qui aiment les villes pleines de charme, Rouen est une étape incontournable. Avec ses maisons à colombages et son centre animé, c’est un véritable coup de cœur durant votre roadtrip.

Commencez votre parcours à Le Tréport ou Dieppe, et suivez la côte jusqu’au célèbre Mont-Saint-Michel, l’une des villes les plus étonnantes de France. En chemin, vous traverserez une multitude de villages pittoresques, des falaises majestueuses comme celles d’Étretat, et des petits ports où l’on déguste des fruits de mer frais.

Ne manquez pas un arrêt à Caen ou Deauville pour un mélange de vie citadine et de relaxation au bord de la mer. L’itinéraire est assez court pour un week-end, mais assez riche pour une semaine d’aventure variée.

Ce roadtrip en Normandie offre tout ce que l’on peut attendre d’une destination vacances complète. Vous roulez le long de l’océan Atlantique, traversez des collines verdoyantes, respirez l’histoire dans des villes séculaires, et profitez de plages magnifiques.
Ajoutez à cela la gastronomie locale, l’accueil chaleureux des habitants, et un rythme de vie apaisant, et vous comprendrez pourquoi c’est une de ces destinations inoubliables qui marquent un voyage.

Et le meilleur dans tout ça ? Vous n’avez pas besoin de faire des milliers de kilomètres. Parfait pour ceux qui veulent rester proches de la maison, tout en profitant de l’évasion que procure un vrai roadtrip.

Un roadtrip en Italie, c’est le plaisir à l’état pur. Que vous soyez amateur de villes historiques, de plages ensoleillées, de montagnes majestueuses ou de la délicieuse cuisine italienne, cet itinéraire a tout pour plaire. De la ville éternelle aux falaises spectaculaires de la côte Amalfitaine, c’est une destination vacances qui éveille les sens du début à la fin.

Commencez là où tout a commencé : à Rome. Chaque ruelle y raconte une histoire, et chaque repas est une fête. Ensuite, cap vers le sud, où le paysage devient plus sauvage et les montagnes laissent place à des collines verdoyantes parsemées d’oliviers et de vignes.

Vous passez littéralement d’un musée à ciel ouvert à un autre. En chemin, vous traversez des parcs naturels, des villes surprenantes et des villages animés – chacun avec son rythme et son charme unique. Aucune route en Italie n’est monotone, et c’est vous qui décidez où vous arrêtez. C’est toute la beauté d’un roadtrip en voiture.

Pour les passionnés de culture et de caractère, Naples est un arrêt incontournable. Cette ville fascinante, aussi chaotique que vivante, regorge d’énergie… et de pizza napolitaine. Un peu plus loin, Sorrente, perchée sur les falaises, offre une vue sublime sur le Vésuve et le golfe de Naples.

Mais la perle absolue, c’est Positano. Ses maisons colorées accrochées à la montagne, ses ruelles étroites et sa vue sur la mer font de ce lieu un tableau parfait – aussi charmant en vrai que sur Instagram. Pas étonnant que ce soit l’une des destinations les plus prisées d’Italie.

Cet itinéraire italien est parfait pour celles et ceux qui veulent tout combiner : belles destinations vacances, plages ensoleillées, villages authentiques et gastronomie inégalée. Ici, vous mangez l’Italie étape par étape : des pâtes à Rome, de la pizza à Naples, et des fruits de mer face à la mer Tyrrhénienne.

Et surtout, vous voyagez à votre rythme. Pas de files, pas de correspondances, pas de frais cachés comme avec l’avion ou le train. Juste votre voiture, votre playlist, et votre liberté.

Si vous cherchez une destination vacances unique en Europe, loin des foules, ajoutez sans hésiter la Slovénie à votre liste. Ce petit pays niché entre les Alpes et la mer Adriatique est parfait pour un roadtrip inoubliable en voiture. Imaginez des cascades secrètes, des collines verdoyantes, des villages de carte postale et des lacs turquoise où vous croiserez à peine une âme.

La Slovénie est un véritable paradis pour les amateurs de randonnées, d’air pur de montagne et de grands espaces naturels. Moins connues que les Alpes autrichiennes ou suisses, les Alpes slovènes n’en sont pas moins spectaculaires. Vous traversez des montagnes imposantes, des rivières limpides et des forêts profondes à perte de vue.

Mais la Slovénie, c’est aussi une destination variée : des montagnes du nord à la côte ensoleillée du sud. En une semaine seulement, vous pouvez explorer cols alpins et plages, pour un roadtrip riche et contrasté.

Je roadtrip begint meestal bij het meer van Bled, bekend om z’n eilandje met kerkje, turquoise water en omringende bergen. Rij daarna richting het Triglav Nationaal Park: het kloppend hart van Slovenië, met z’n spectaculaire watervallen, meren en wandelroutes.

Ook het minder bekende meer van Bohinj is een bezoekje waard: rustiger, ruiger en perfect voor wie het pure Slovenië wil leren kennen. Onderweg passeer je charmante bergdorpjes, traditionele boerderijen en markten waar je lokale kaas en honing kan proeven.

La Slovénie est un pays compact, idéal pour un voyage en voiture. Les distances sont courtes mais les paysages changent sans cesse. Prenez votre temps et évitez les autoroutes quand vous le pouvez.

Attention cependant : sur les autoroutes, un vignette de péage est obligatoire. Vous pouvez l’acheter en ligne ou aux frontières sans difficulté. Le camping sauvage est interdit, mais vous trouverez facilement des hébergements abordables : hôtels de charme, chambres d’hôtes, ou campings nature.

Un conseil pour ceux qui cherchent la tranquillité : évitez les mois de juillet et août. Préférez mai, juin ou septembre, pour profiter des mêmes paysages, sans la foule.

Vous souhaitez en savoir plus sur les règles relatives aux vignettes en Suisse ou en Autriche ? Lisez notre article sur la vignette en Suisse et la vignette en Autriche.

Un roadtrip à travers l’Irlande, c’est une aventure à l’état pur. Imaginez des collines verdoyantes, des falaises abruptes, et des pubs chaleureux d’où s’échappe de la musique live jusque dans la rue. L’île offre un magnifique mélange de nature, de culture et d’hospitalité – et le tout à des distances de conduite raisonnables.

Commencez votre itinéraire par les falaises de Moher – l’un des plus grands spectacles naturels d’Europe. Ces parois vertigineuses qui plongent dans l’océan Atlantique sont un incontournable absolu.

Puis mettez le cap sur Galway, une ville pleine de charme irlandais. Vous y trouverez des musiciens de rue, des ruelles colorées, et une authentique culture du pub. Depuis Galway, il est facile de faire une escapade au Parc National du Connemara ou de visiter les îles d’Aran.

Vous avez plus de temps ? Prenez la Wild Atlantic Way vers le sud. Cette route sinueuse longe des baies sauvages, des petits ports et des plages secrètes. Chaque virage offre une nouvelle vue à couper le souffle – et parfois même un mouton en plein milieu de la route.

Ce qui rend l’Irlande si unique ? C’est la combinaison magique entre paysages spectaculaires et ambiance conviviale. Vous traversez des décors dignes du cinéma, mais trouvez toujours une taverne accueillante pour savourer une Guinness ou un ragoût irlandais fumant.

L’île est aussi facile à explorer, même pour ceux qui ne partent qu’une semaine. Parfait pour un roadtrip complet, entre nature, musique, mer et chaleur humaine.

La meilleure saison s’étend de mai à septembre, avec plus de chances d’avoir du temps sec et des journées longues. N’oubliez pas que la conduite se fait à gauche. Cela demande un petit temps d’adaptation, mais rien d’insurmontable.

Quelques conseils utiles :

• Emportez une carte verte d’assurance internationale
• Vérifiez si votre GPS couvre l’Europe et l’Irlande
• Réservez vos hébergements à l’avance dans les régions les plus prisées

Un roadtrip en Irlande, ce n’est pas des vacances comme les autres. C’est une expérience authentique, marquée par les paysages, l’ambiance, et les rencontres inoubliables.

Envie de sortir des sentiers battus et d’éviter les circuits touristiques classiques ? Il existe encore de nombreuses destinations vacances en Europe parfaites pour un roadtrip avec votre propre voiture. Entre châteaux, plages dorées et villages pittoresques, ces pays ont tout pour offrir un voyage varié et inoubliable.

L’Allemagne est plus proche qu’on ne le pense, et étonnamment riche en paysages et en histoire. Parfait donc pour un roadtrip court ou prolongé.

Commencez par le sud, en Bavière, avec le célèbre château de Neuschwanstein, tout droit sorti d’un conte de fées. Poursuivez à travers la région alpine vers le lac de Constance ou la Forêt-Noire, où vous pourrez randonner autour de lacs tranquilles, de collines verdoyantes et de villages traditionnels.

Ne manquez pas la Route Romantique, de Würzburg à Füssen, qui vous fera traverser villes historiques, forteresses et vignobles. L’Allemagne prouve qu’un roadtrip n’a pas besoin d’être lointain pour être enrichissant — et même avec un petit budget, il y a énormément à découvrir.

Envie de soleil, mer et bons vins ? Un roadtrip au Portugal est une excellente idée. Commencez au nord, à Porto, avec un verre de porto, puis descendez doucement le long de la côte Atlantique.

Sur la route, vous croiserez des villages de surfeurs, des cascades cachées, et des plages magnifiques parfois complètement désertes. Faites une pause à Lisbonne, une ville vibrante pleine de culture, de panoramas et de délices culinaires.

Terminez votre parcours en Algarve, avec ses plages dorées, ses falaises spectaculaires, et ses criques turquoise. Ce roadtrip est un subtil mélange de nature, culture, et détente balnéaire – le tout loin du tourisme de masse.

La Croatie séduit depuis des années les amateurs de soleil et de mer, mais en voiture, le pays se découvre sous un tout autre angle.

Lancez votre roadtrip dans le nord, par exemple à Rijeka ou Pula, puis suivez la côte vers le sud. En chemin, vous verrez des lacs bleu azur, des falaises sauvages et de longues plages dignes de cartes postales. La ville de Split, avec ses racines romaines, attire de nombreux visiteurs, tandis que Dubrovnik impressionne par ses remparts médiévaux et sa vue sur la mer.

Vous avez un peu plus de temps ? Faites un détour à l’intérieur des terres pour découvrir le parc national des lacs de Plitvice, un joyau naturel avec des dizaines de cascades et des eaux turquoise éclatantes. Et tout cela, à votre rythme, sans complications de vols intérieurs ni de transferts organisés.

Planifier un roadtrip, ce n’est pas si compliqué. Avec un peu de préparation, vous profitez au maximum de votre voyage – sans stress ni opportunités manquées. Voici quelques conseils pratiques pour transformer votre prochain trajet en aventure inoubliable.

Commencez par tracer votre itinéraire, mais laissez assez de place à l’improvisation. Les plus belles vues, cascades cachées, ou villages authentiques se trouvent souvent hors des sentiers battus.

Utilisez Google Maps ou des applications comme Roadtrippers ou Komoot pour repérer les points d’intérêt le long de votre route. Pensez à marquer :

• Vos hébergements
• Stations-service
• Marchés locaux ou bons plans food
• Points de vue et sentiers de randonnée

Vous partez avec votre propre voiture ? Vérifiez à l’avance la pression des pneus, l’huile moteur, et le liquide de refroidissement. En cas de doute, un petit entretien vous permettra de partir en toute tranquillité.

 Astuce en plus : emportez une carte routière physique en backup. Dans certaines zones montagneuses ou naturelles, le réseau mobile est inexistant.

Un roadtrip ne doit pas forcément être cher. Au contraire, avec une route bien pensée et des étapes économiques, il peut même être plus abordable qu’un voyage classique.

Voici quelques destinations vacances peu coûteuses où vous en avez pour votre argent :

• Slovénie : nature époustouflante, lacs turquoise, hébergements abordables
• Nord du Portugal : charme authentique, peu de touristes, repas bon marché
• Allemagne de l’Est et Tchéquie : villes historiques, randonnées, prix accessibles

Évitez les autoroutes à péage, pique-niquez plutôt que de vous arrêter au restaurant, et réservez tôt via Booking ou Airbnb.

Rien de plus agaçant que d’oublier quelque chose d’essentiel. Voici une checklist rapide pour ne rien laisser au hasard :

• Papiers d’assurance et carte d’identité
• Gilet fluo, triangle, trousse de premiers secours (souvent obligatoires)
• Carte ou badge télépéage (pour la France / Italie)
• Snacks et gourde réutilisable
• Powerbank et câbles de recharge
• Lunettes de soleil et crème solaire
• Coussin et plaid pour les longs trajets
• Playlist Spotify/Deezer pour l’ambiance

N’oubliez pas non plus de laisser un peu de place dans le coffre : vous tomberez forcément sur un souvenir ou une spécialité locale à rapporter.

Vous cherchez un aperçu pratique de conseils pour vos prochaines vacances en voiture ? Découvrez nos 10 conseils en or dans l’article.

Vous avez maintenant l’inspiration, les itinéraires et les astuces. Il ne vous manque plus qu’une destination… et une voiture fiable pour vous lancer.

Que vous choisissiez les côtes normandes, la côte amalfitaine ou les collines vertes de Slovénie, partir en voiture depuis la Belgique reste l’une des manières les plus simples et plaisantes de découvrir l’Europe.

Vous créez votre itinéraire, vous vous arrêtez où vous voulez, et vous découvrez des trésors cachés que vous n’auriez jamais vus autrement. Pas d’aéroport, pas de contrainte horaire. Juste vous, votre voiture, et la liberté de la route.

Toutes les voitures ne sont pas faites pour un long roadtrip. Vous cherchez une voiture confortable, fiable sur de longues distances, mais abordable ?

Un bon modèle d’occasion est souvent la solution la plus maligne :

• Prix d’achat plus bas, plus de budget pour le voyage
• Pas de frais cachés comme avec certaines locations
• Vous roulez avec votre propre véhicule, sans contraintes ni surprises

Chez Touring Carselect, nous sélectionnons des modèles d’occasion avec soin et expertise.
Idéals pour votre prochain roadtrip et parfaits aussi pour vos trajets du quotidien.

Découvrez nos modèles et trouvez le véhicule fait pour votre aventure. Qui sait ? Votre prochaine voiture de roadtrip vous attend peut-être déjà.

La norme Euro voiture est aujourd’hui bien plus qu’une simple donnée technique. Elle détermine si vous pouvez encore circuler dans des zones à faibles émissions (LEZ) comme Anvers ou Bruxelles, où certains véhicules sont soumis à des restrictions d’accès selon leur niveau de polluants atmosphériques. Elle influence aussi le montant de votre taxe de circulation et même la valeur de revente de votre voiture d’occasion.

Dans cet article, vous découvrirez comment connaître la norme Euro de votre véhicule, ce que cela signifie en Belgique, et quel sera l’impact des nouvelles normes prévues en 2025 et 2026 — particulièrement si vous conduisez un diesel ou envisagez de vendre votre voiture.

La norme Euro est un standard environnemental européen qui fixe la limite des émissions polluantes autorisées pour un véhicule. Elle concerne les véhicules à moteur essence, diesel ou hybrides, et classe chaque véhicule selon son niveau de pollution. Elle mesure les émissions de dioxyde de carbone (CO₂), de particules fines (PM) et d’oxydes d’azote (NOₓ). Plus le niveau Euro est élevé (Euro 6 par exemple au lieu de Euro 3), plus la norme est stricte en matière de rejets polluants.

Mise en œuvre depuis 1992, cette réglementation a été progressivement renforcée par la Commission européenne pour améliorer la qualité de l’air et réduire les effets du transport routier sur l’environnement. Chaque nouvelle génération de véhicules doit ainsi répondre à des exigences plus strictes.

En Belgique, la norme Euro voiture est essentielle pour deux raisons principales :

1. Zones à faibles émissions (LEZ) : des villes comme Bruxelles, Anvers ou Gand appliquent des règles d’accès basées sur la norme Euro de votre véhicule. Si vous possédez un vieux diesel Euro 3 ou Euro 4, vous pourriez ne plus pouvoir accéder au centre-ville, ou seulement moyennant paiement. Pour plus d’informations, consultez notre article sur les zones LEZ en Belgique.
2. Taxe de mise en circulation (TMC) et taxe annuelle : en Flandre, la norme Euro, combinée aux émissions, influence directement le montant de la TMC ainsi que de la taxe de circulation annuelle. Un véhicule plus propre bénéficiera souvent d’un tarif réduit.

En résumé, la norme Euro n’est pas qu’un simple code technique : elle conditionne où vous pouvez circuler, combien vous payez et à quel point votre voiture est respectueuse de l’environnement.

La norme Euro ne concerne pas uniquement les voitures particulières. Elle s’applique à une large gamme de véhicules à moteur thermique :

• Voitures (essence, diesel ou hybrides)
• Utilitaires légers et vans (catégorie N1)
• Poids lourds (catégories N2 et N3)
• Autobus et autocars (catégories M2 et M3)
• Cyclomoteurs, motos et quads

Chaque catégorie de véhicule est soumise à des règles spécifiques. Pour les voitures, les normes varient de Euro 0 à Euro 6d. Les camions et bus relèvent d’autres standards comme les normes EEV ou stade V pour les véhicules industriels.
À noter : même les véhicules électriques sont attribués une norme Euro, bien qu’ils n’émettent pas de gaz polluants en usage normal. Ils sont donc automatiquement autorisés à circuler dans les zones à faibles émissions.

Vous vous demandez comment connaître la norme Euro de votre véhicule ? Elle figure sur votre certificat d’immatriculation, à la case V.9, ou sur le Car-Pass.

Comment être sûr de la norme Euro de votre voiture ? Il existe plusieurs façons de le vérifier rapidement, même sans aucune connaissance technique.

La méthode la plus simple et la plus fiable ?

Consultez le certificat d’immatriculation de votre voiture, également connu sous le nom de carte grise ou formulaire rose. Repérez la case V.9 : c’est là que la norme Euro est clairement indiquée, par exemple “EURO 6d-TEMP”.

Attention : pour les véhicules plus anciens, cette case peut être vide. Dans ce cas, il faut utiliser une méthode alternative pour déterminer la norme Euro. Il est alors possible d’établir la classe d’émission sur base de la date de première immatriculation, en la comparant aux dates d’entrée en vigueur des différentes normes Euro.

Aucune norme Euro indiquée sur votre certificat ? Pas de panique. Vous pouvez aussi consulter le Car-Pass, le document officiel remis lors de l’achat ou du contrôle technique. La norme Euro du véhicule y est souvent précisée. Sinon, vous pouvez utiliser la date de première immatriculation, qui permet de déduire la norme (voir tableau plus bas). Cette date est essentielle pour identifier la classe d’émission de votre voiture.

Et si vous n’avez pas non plus de Car-Pass sous la main ? Il reste possible d’estimer la norme Euro à partir de la date de première immatriculation en Belgique ou dans un autre État membre de l’UE.

Et si vous n’avez même pas de Car-Pass sous la main ? Vous pouvez toujours estimer la norme Euro de votre voiture en vous basant sur la date de première immatriculation, que ce soit en Belgique ou dans un autre pays de l’Union européenne.

Le tableau ci-dessous vous permet de déterminer rapidement la norme Euro correspondant à votre véhicule. Ces données sont également utilisées pour appliquer les règles dans la majorité des zones à faibles émissions (LEZ), notamment à Anvers, Gand et Bruxelles, ainsi que par la Vlaamse Belastingdienst pour le calcul de la taxe de circulation ou de la taxe de mise en circulation (TMC). Les règles de la LEZ (comme à Anvers, Gand et Bruxelles) et l’administration fiscale flamande lors du calcul de la taxe de circulation ou de la TPS.

Norme Euro	Date de première immatriculation
Euro 0	Avant le 1er juillet 1992
Euro 1	Du 1er juillet 1992 au 31 décembre 1996
Euro 2	Du 1er janvier 1997 au 31 décembre 2000
Euro 3	Du 1er janvier 2001 au 31 décembre 2005
Euro 4	Du 1er janvier 2006 au 31 décembre 2010
Euro 5	Du 1er janvier 2011 au 31 août 2015
Euro 6b	Du 1er septembre 2015 au 31 août 2018
Euro 6c	Du 1er septembre 2018 au 31 août 2019
Euro 6d-TEMP	Du 1er septembre 2019 au 31 décembre 2020
Euro 6d	À partir du 1er janvier 2021
Euro 6e	À partir du 1er septembre 2024
Euro 6e bis	À partir du 1er janvier 2025 (spécifique aux PHEV)
Euro 7 / 7A	Prévu à partir de juillet 2025, sous réserve. (Source : Reuters)

La norme Euro exacte peut varier pour les véhicules immatriculés plus tard en Belgique, comme les voitures importées. Il est donc essentiel de se baser sur la date de première immatriculation dans l’UE.

Comme vous l’avez compris, la norme Euro voiture détermine si votre véhicule est encore autorisé à circuler dans une zone environnementale, comme une LEZ (Low Emission Zone). De plus en plus de villes belges interdisent l’accès aux véhicules anciens dits polluants, qui émettent trop de substances nocives. Les diesels anciens, avec une norme Euro basse, sont les premiers concernés.

L’accès à ces zones est également soumis à enregistrement préalable, selon la catégorie du véhicule et la norme Euro indiquée sur le certificat d’immatriculation.

Où s’appliquent les LEZ en Belgique ?

Actuellement, trois villes belges appliquent une zone à faibles émissions active :

• Anvers
• Gand
• Bruxelles

Dans ces zones, les conditions d’accès sont déterminées selon la norme Euro du véhicule.

Si vous roulez avec une voiture diesel ou essence ancienne, il y a de fortes chances que l’entrée vous soit refusée. Le contrôle est effectué via un système automatique de reconnaissance de plaque. Vous pouvez vérifier votre plaque d’immatriculation directement sur les sites officiels des villes pour savoir si votre voiture peut entrer (Bruxelles, Gand, Anvers).

Chaque ville définit ses propres critères. Les conditions d’accès varient selon le type de carburant et la norme Euro du véhicule.

• Véhicules diesel (à partir de 2025) :
  • Anvers : Euro 5 minimum
  • Gand : Euro 5 minimum
  • Bruxelles : Euro 4 minimum, mais Euro 5 exigé fin 2025
• Véhicules essence (à partir de 2025) :
  • Euro 2 minimum dans toutes les zones
  • Il est prévu que cette exigence passe à Euro 3 voire Euro 4 à l’avenir

Y a-t-il des exceptions ?
Oui. Certains véhicules anciens peuvent malgré tout accéder aux LEZ sous conditions :

• Personnes en situation de handicap avec carte de stationnement (sur demande)
• Oldtimers immatriculés avec une plaque O (véhicules de plus de 30 ans)
• Véhicules prioritaires comme les ambulances ou la police
• Autorisations temporaires pour déménagements ou événements

Chaque ville possède une liste spécifique d’exceptions. Il est recommandé de consulter le site officiel de la ville concernée.

Vous voulez en savoir plus ?
Lisez notre article sur les zones à faibles émissions en Belgique – un aperçu clair par ville.

La norme Euro de votre voiture joue déjà un rôle clé dans les avantages fiscaux et l’accès aux zones environnementales, mais son importance ne fera que croître dans les années à venir. De nouvelles normes sont en préparation, les règles deviennent plus strictes, et les dérogations disparaissent progressivement.
Les pays voisins renforcent également leurs restrictions, en particulier à l’égard des véhicules diesel, et de nouvelles zones environnementales voient le jour dans toute l’Europe.

Que devez-vous savoir pour 2025 et au-delà ?

Depuis 2025, la nouvelle norme Euro 6e est officiellement en vigueur pour les nouveaux modèles de véhicules. Elle constitue une étape intermédiaire vers la norme Euro 7, qui deviendra obligatoire pour toutes les nouvelles immatriculations en Europe dès 2026/2027.

La norme Euro 6e repose sur les bases des normes 6d et 6d-TEMP, mais elle renforce surtout les protocoles de test, en mesurant plus précisément les émissions dans des conditions de conduite réelles.

La norme Euro 7, quant à elle, marque un changement majeur. Elle vise à fixer des seuils d’émission identiques pour les véhicules essence et diesel, et à soumettre les hybrides et plug-in hybrides à des procédures de test plus strictes. Toutefois, cela pourrait réduire l’offre de véhicules thermiques neufs, notamment dans les gammes de prix plus abordables, en raison de contraintes techniques et financières plus élevées.

Pour les consommateurs, cela pourrait se traduire par :

• des voitures neuves plus chères à cause des exigences techniques accrues ;
• un accès aux LEZ et une taxation de plus en plus liée à ces nouvelles normes.
• L’accès aux LEZ et les charges de trafic sont de plus en plus étroitement liés à ces normes plus strictes.

Dès le 1er janvier 2026, les conditions d’accès aux zones à faibles émissions en Flandre (dont Gand et Anvers) seront à nouveau durcies. L’impact sera particulièrement important pour les diesels plus anciens. Modifications prévues :

• Les diesels Euro 5 ne seront plus admis dans les zones LEZ.
• Les voitures essence devront avoir au moins la norme Euro 3 pour entrer.
• L’âge du véhicule joue un rôle moins important que la norme Euro précise, avec des distinctions entre Euro 6b, 6c et 6d (TEMP).

Ces ajustements s’inscrivent dans une tendance européenne plus large visant à exclure progressivement les véhicules les plus polluants des centres-villes. Dans certains cas, une autorisation temporaire peut encore être achetée, mais elle est limitée dans le temps et généralement coûteuse.

Votre voiture ne répond pas à la norme Euro minimale exigée dans une zone à faibles émissions (LEZ) ? Vous risquez alors une amende ou même l’interdiction d’accéder à certains centres-villes. Heureusement, il existe quelques solutions pour éviter les problèmes.

Dans des villes comme Bruxelles, Gand et Anvers, il est possible de demander une autorisation temporaire pour des véhicules normalement interdits. Cette autorisation est payante et limitée dans le temps. Elle concerne notamment :

• Les véhicules étrangers non encore immatriculés en Belgique.
• Les conducteurs avec des raisons médicales ou un handicap.

Certains véhicules doivent être enregistrés au préalable pour obtenir cette autorisation. La demande se fait en ligne, sur le site web de la ville LEZ concernée, et avant d’entrer dans la zone.

• Vérifiez la norme Euro de votre voiture avant de vous rendre dans une LEZ.
• Utilisez l’outil en ligne de la ville (LEZ-checker) pour obtenir une confirmation immédiate.
• Envisagez de remplacer votre voiture ou d’effectuer une modification technique, surtout si vous fréquentez souvent une LEZ.
• Planifiez un itinéraire alternatif ou garez-vous à l’extérieur de la zone pour ensuite utiliser les transports en commun.

Un conducteur bien informé évite non seulement les sanctions, mais fait aussi des choix plus réfléchis pour l’avenir.

Pour circuler intelligemment en Belgique, mieux vaut connaître dès aujourd’hui la norme Euro de votre voiture. Avec des règles de plus en plus strictes dans les zones LEZ et en matière de taxation, une norme conforme peut vous faire économiser des centaines d’euros et vous éviter des amendes inutiles.

D’autres pays européens appliquent également des règlementations similaires basées sur la norme Euro voiture, ce qui impacte l’accès à de nombreuses zones.

Consultez à temps votre certificat d’immatriculation ou votre Car-Pass pour vérifier le niveau d’émission de votre véhicule. Vous éviterez ainsi les mauvaises surprises aux portes d’une zone à faibles émissions et serez prêt pour les règles plus strictes à partir de 2025.
Un petit effort aujourd’hui, un grand avantage demain.

Les chevaux fiscaux de votre véhicule détermine en grande partie le montant de votre taxe de circulation annuelle en Belgique.

Que vous conduisiez une voiture essence, diesel ou hybride, vos chevaux fiscaux influencent vos coûts dès que le véhicule est immatriculé auprès de la DIV (Direction pour l’Immatriculation des Véhicules).

Au même titre que la norme Euro ou les émissions de CO₂, la puissance fiscale (appelée aussi chevaux fiscaux) définit la valeur imposable du moteur. En Flandre, elle est utilisée pour calculer la taxe de circulation annuelle, mais aussi la taxe de mise en circulation (TMC) dans de nombreux cas.

Pas de panique si tout cela semble compliqué ! Dans cet article, nous allons vous expliquer clairement :

• ce que sont les chevaux fiscaux,
• où les trouver (notamment sur le certificat d’immatriculation ou la carte grise),
• comment les calculer via les critères du moteur (comme la cylindrée),
• et en quoi cela impacte le montant que vous devrez payer.

Les chevaux fiscaux sont une unité administrative utilisée par les autorités pour estimer la puissance d’un véhicule à des fins fiscales. Ce n’est pas une mesure réelle de la puissance moteur comme les chevaux vapeur (ch) ou les kilowatts (kW), mais une valeur forfaitaire utilisée pour le calcul de la taxe.

En pratique, elle est basée principalement sur la cylindrée du moteur. Plus le moteur a une grande cylindrée, plus le nombre de chevaux fiscaux sera élevé, et plus vous paierez de taxe de circulation.

Le calcul de la puissance fiscale permet donc de déterminer le montant de la taxe que vous devrez verser chaque année. C’est pourquoi comprendre la notion de chevaux fiscaux est essentiel pour éviter les mauvaises surprises. À noter : cette règle ne s’applique pas aux voitures électriques. Celles-ci n’ayant pas de cylindrée, elles sont soumises à un mode de calcul différent (nous en parlerons plus loin).

Les chevaux fiscaux figurent généralement sur le certificat d’immatriculation de votre véhicule, aussi appelé carte grise ou anciennement « formulaire rose ». Sur certains modèles, l’information se trouve dans la case P.2, mais cela peut varier selon le type de véhicule et la date de mise en circulation.

Vous ne le voyez pas directement ? Consultez alors le certificat de conformité européen (COC). Ce document est souvent remis lors de l’achat, mais vous pouvez également le demander à votre vendeur ou via le site de la Vlaamse Belastingdienst.

Le calcul de la puissance fiscale ne s’applique pas à tous les véhicules. Il concerne notamment :

• les voitures particulières à moteur thermique,
• les minibus et véhicules à usage mixte,
• les véhicules hybrides (selon le type et les émissions de CO₂),
• les véhicules utilitaires légers répondant à certains critères.

Pour les voitures électriques sans cylindrée, la formule standard ne s’applique pas. Dans ce cas, d’autres facteurs comme le type de batterie, la norme Euro, ou les émissions de dioxyde de carbone sont pris en compte.

De plus, les règles varient selon les régions : ce qui est valable en Flandre peut différer en Wallonie ou à Bruxelles. Cet article se concentre sur la réglementation applicable en région flamande.

La puissance fiscale (ou chevaux fiscaux CV) d’un véhicule se base sur ses caractéristiques techniques. Le critère principal est la cylindrée du moteur, exprimée en centimètres cubes (cm³).

Pour les véhicules thermiques, la formule de calcul des chevaux fiscaux est :

Puissance fiscale = cylindrée en cm³ ÷ 200

Exemple :
Un véhicule avec une cylindrée de 1 600 cm³ aura :
1 600 / 200 = 8 CV fiscaux

Plus la cylindrée est élevée, plus le montant de la taxe de circulation annuelle sera important.

Vous voulez en savoir plus sur le système de taxation des véhicules en Belgique ? Consultez notre article complet sur la taxe de circulation.

À noter : le nombre de chevaux fiscaux inscrit sur votre certificat peut être arrondi. Toutefois, l’administration fiscale flamande utilise la valeur exacte pour établir la taxe.

Tous les véhicules ne suivent pas la formule classique.
Pour les voitures hybrides ou hybrides rechargeables, la puissance fiscale est souvent calculée de manière similaire, mais les émissions de CO₂ et la valeur WLTP peuvent influencer le montant de la taxe.

Les véhicules 100 % électriques n’ayant pas de cylindrée, ils ne sont pas soumis au calcul classique des chevaux fiscaux. Dans ce cas, la Vlaamse Belastingdienst se base sur d’autres éléments :

• la puissance moteur en kilowatts (kW),
• la valeur WLTP (si applicable),
• le type de moteur électrique utilisé.

En général, la taxe d’immatriculation et la taxe de circulation pour les voitures électriques sont plus faibles, avec parfois des exemptions ou réductions fiscales.

La valeur WLTP (Worldwide Harmonised Light Vehicle Test Procedure) est une méthode de test normalisée qui mesure les émissions réelles de CO₂ des véhicules. Vous pouvez retrouver cette information sur le certificat de conformité européen (COC) ou sur le certificat de contrôle technique.
Pourquoi est-ce important ?

• En Flandre, les émissions de CO₂ influencent la taxe de circulation des véhicules neufs
• Le type de carburant est également déterminant : les voitures diesel avec de fortes émissions paient souvent plus
• La norme Euro (comme Euro 6) peut réduire la taxe pour les véhicules à faible émission

La puissance fiscale (chevaux fiscaux) reste la base du calcul de la taxe, mais d’autres éléments comme la valeur WLTP, les émissions de dioxyde de carbone et la source d’énergie (essence, diesel, hybride, électrique) influencent le montant final.

En région flamande, le montant de la taxe de circulation annuelle dépend principalement du nombre de chevaux fiscaux (CV). Toutefois, d’autres critères viennent moduler ce calcul, notamment : l’âge du véhicule, le type de carburant,
le niveau d’émissions de CO₂, la norme Euro.

Pour les voitures particulières, minibus et véhicules à usage mixte immatriculés avant le 1er janvier 2016, seul le nombre de chevaux fiscaux est pris en compte. Depuis le 1er janvier 2016, la Vlaamse Belastingdienst considère également :

• la norme Euro du véhicule,
• la valeur de CO₂ émise,
• le type de carburant (essence, diesel, hybride, etc.).

Malgré tout, la base de calcul reste la puissance fiscale du véhicule.

Il existe un montant minimal à payer, même si la formule donne une valeur très faible.

La Belgique compte trois régimes fiscaux distincts. Chaque région applique ses propres règles pour la taxe de mise en circulation (TMC) et la taxe annuelle.

• Flandre : la puissance fiscale (chevaux fiscaux), les émissions de CO₂ et la norme Euro sont prises en compte.
• Wallonie : seule la puissance fiscale est considérée pour la taxe annuelle.
• Bruxelles : système hybride, mais généralement basé sur la puissance moteur et le type de carburant.

Attention: si vous achetez une voiture d’occasion venant d’une autre région ou si vous déménagez : les règles fiscales peuvent changer.

Tous les véhicules n’ont pas un moteur thermique classique. Si vous conduisez une voiture électrique ou importée de l’étranger, des règles spécifiques s’appliquent.

Un véhicule électrique n’ayant pas de cylindrée, il ne reçoit pas de chevaux fiscaux au sens traditionnel. Toutefois, dans certains cas, une taxe de circulation peut encore s’appliquer.

Ce qu’il faut savoir :

• En Flandre, les véhicules 100 % électriques bénéficient d’une exonération de TMC et de taxe annuelle.
• Les hybrides rechargeables sont imposés en fonction des émissions de CO₂, du type d’usage et du moteur.
• Le moteur électrique doit être mentionné sur le certificat d’immatriculation.

Ce régime fiscal peut évoluer : vérifiez toujours les conditions en vigueur à la date de mise en circulation.

Vous souhaitez immatriculer un véhicule importé ? Voici les démarches et documents nécessaires :

• Le Service Public Fédéral Mobilité (DIV) exige un certificat de conformité européen (COC) mentionnant la puissance, les émissions de CO₂ et la norme Euro.
• Documents requis : certificat d’immatriculation étranger, facture d’achat, COC et certificat de contrôle technique.
• La taxe de mise en circulation (TMC) et la taxe annuelle seront calculées comme pour une première immatriculation en Belgique.

Pas besoin d’être comptable ! Avec les bons documents et outils en ligne, vous pouvez vérifier ou estimer vos chevaux fiscaux et le montant de votre taxe en quelques minutes.

La Vlaamse Belastingdienst met à disposition un simulateur pratique qui permet de calculer facilement la taxe de circulation annuelle à partir de la puissance fiscale (chevaux fiscaux).

Vous trouverez cet outil sur belastingen.vlaanderen.be, dans la section dédiée au calcul de la taxe de circulation. Il suffit d’encoder quelques informations techniques, et le site affiche directement le montant estimé sur la base des chevaux fiscaux, des émissions de CO₂ et d’autres critères.

D’autres plateformes comme Voertuigkosten.be proposent aussi des outils de simulation, mais ils sont moins complets que les sources officielles.

Pour calculer correctement la puissance fiscale ou la taxe de circulation, il est utile d’avoir à portée de main les documents suivants :

• Votre certificat d’immatriculation (partie 1) : il mentionne la cylindrée et parfois les émissions de CO₂.
• Le certificat de conformité européen (COC) indiquant la valeur WLTP ou NEDC.
• La date de première mise en circulation.
• Le type de carburant et, le cas échéant, la norme Euro.

Pour un véhicule étranger : veillez à avoir un certificat d’immatriculation étranger clair et complet indiquant les caractéristiques techniques nécessaires.

Conseil : vérifiez bien l’exactitude des données, surtout pour les véhicules anciens ou importés de l’extérieur de l’UE. Des erreurs dans ces documents peuvent entraîner un mauvais calcul, voire des amendes lors de l’immatriculation.

Connaître votre puissance fiscale (chevaux fiscaux) vous évite les surprises et vous assure de ne jamais payer trop.

Que vous soyez sur le point :

• d’acheter une voiture,
• de l’immatriculer en Belgique,
• ou simplement de prévoir votre taxe annuelle…

… une simple estimation vous permet de savoir exactement à quoi vous attendre.

Vous êtes en panne sur l’autoroute ? Vous souhaitez évidemment être aidé au plus vite et, surtout : en toute sécurité.

Pourtant, de nombreux usagers de la route ne savent pas exactement quoi faire en cas de panne sur l’autoroute. L’assistance dépannage classique ne peut en effet pas intervenir directement sur les voies rapides. C’est ici qu’intervient le service de remorquage f.a.s.t (en Flandre) ou le système siabis+ (en Wallonie), activé par la police de la route via le numéro d’urgence 112.

Nous vous expliquons ci-dessous comment cela fonctionne, combien cela coûte et comment Touring peut vous assister.

F.A.S.T signifie « Files Aanpakken door Snelle Tussenkomst ». Cette initiative du gouvernement flamand et de l’Agence flamande des routes et de la circulation poursuit un objectif clair : éviter les accidents supplémentaires et prévenir les longs embouteillages.

F.A.S.T intervient rapidement en cas d’incidents tels qu’un véhicule en panne, une cargaison perdue ou un accident, afin d’aider rapidement les personnes concernées et de rétablir une circulation fluide.

La police fédérale fait appel à un dépanneur agréé spécialement équipé pour évacuer le véhicule en panne ainsi que ses occupants, en toute sécurité. Grâce à une signalisation très visible, les autres conducteurs sont immédiatement alertés, ce qui permet d’éviter des accidents supplémentaires. En Wallonie, le système siabis assure également des interventions rapides sur les autoroutes.

Si votre voiture tombe en panne sur l’autoroute, la sécurité reste la priorité absolue :

1. Mettez votre véhicule en sécurité :
   • Placez votre voiture entièrement sur la bande d’arrêt d’urgence.
   • Enfilez immédiatement votre gilet fluorescent
   • Sortez prudemment du véhicule
   • Placez votre triangle de signalisation à une distance suffisante
2. Appelez immédiatement le 112 :
   • Ne contactez jamais Touring ou un autre service de dépannage classique.
   • La centrale d’urgence vous redirigera directement vers FAST ou siabis
3. Attendez l’aide en toute sécurité :
   • Restez derrière la glissière de sécurité dans un endroit sûr jusqu’à l’arrivée du dépanneur, qui déplacera votre véhicule vers un lieu sécurisé.

Vous trouverez d’autres conseils sur les bons réflexes à adopter en cas de panne dans notre article Que faire suite à un accident de la route ?.

Dès que le service siabis ou fast est activé, le dépanneur agréé a pour mission :

• Arriver sur place dans les 20 minutes suivant l’appel.
• Sécuriser l’incident à l’aide d’un véhicule de signalisation, conformément à des directives strictes.
• Remorquer votre véhicule en toute sécurité jusqu’à la sortie d’autoroute la plus proche ou vers une aire de stationnement du dépanneur. Il est parfois possible de demander un transfert vers un garage spécifique ou à domicile (contre un supplément).
• Travailler avec des tarifs fixes contrôlés par le gouvernement Wallonie.

Cette procédure permet un traitement rapide des incidents et évite la formation de longs embouteillages.

Le gouvernement flamand garantit des tarifs transparents, bien qu’ils varient en fonction du lieu, de l’heure et du type d’intervention :

• Flandre : en moyenne autour de 250 €, selon la masse maximale autorisée de votre véhicule et la province. Plus d’informations sur le site officiel de l’Agence flamande des routes et de la circulation.
• Wallonie : 160 € pour une intervention standard, 240 € pour des situations plus complexes. Un aperçu complet des coûts est disponible sur le site officiel de la Wallonie.

Les frais sont facturés immédiatement, mais peuvent souvent être pris en charge par votre assureur ou service d’assistance (comme Touring). Vérifiez votre contrat pour en avoir le cœur net.

Dès que F.A.S.T ou siabis+ a évacué votre véhicule de l’autoroute, Touring prend le relais si vous disposez d’une assistance dépannage Touring. Nos équipes veillent à transférer votre voiture en toute sécurité vers votre domicile, votre garage ou tout autre lieu souhaité. De plus, Touring rembourse généralement les frais liés à l’intervention FAST ou siabis+, pour que vous soyez couvert sans mauvaise surprise.

Vous avez déjà eu affaire à une crevaison ? Consultez aussi notre article pratique « Que faire en cas de pneu crevé ? ».

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La taxe de circulation est une charge annuelle pour les propriétaires de voitures en Belgique. Son montant dépend de plusieurs facteurs, notamment la puissance du moteur, les émissions de CO₂ et la réglementation régionale.

De plus, la puissance fiscale, Euronorm, votre région et le poids de votre voiture jouent un rôle important dans le calcul.

Mais combien devez-vous exactement payer ? En 2025, de nouvelles règles entreront en vigueur pour les véhicules électriques et hybrides, ce qui entraînera la suppression de certains avantages fiscaux tandis que d’autres seront maintenus.

Dans cet article, nous vous expliquons comment est calculée la taxe de circulation, quelles sont les modifications prévues pour 2025 et quelles options vous pouvez envisager pour réduire vos coûts.

La taxe de circulation est un impôt annuel obligatoire en Belgique qui permet d’utiliser un véhicule sur la voie publique.

Le montant varie en fonction de la région (Flandre, Bruxelles ou Wallonie) et est calculé selon plusieurs critères, notamment la puissance du moteur, les émissions de CO₂ et le type de véhicule.

En plus de la taxe de circulation standard, d’autres taxes peuvent s’appliquer, comme la taxe de mise en circulation (BIV), qui est due lors de la première immatriculation d’un véhicule.

La taxe de circulation s’applique à la plupart des véhicules motorisés circulant sur la voie publique. Cela inclut :

• Les voitures particulières (essence, diesel, hybrides et électriques).
• Les véhicules utilitaires légers et les minibus.
• Les motos et cyclomoteurs.
• Les remorques et camping-cars (au-delà d’une certaine masse).
• Les taxis et véhicules à usage mixte.
• Les véhicules d’entreprise et les voitures en leasing.

Certains véhicules, comme les voitures de collection et les camping-cars, sont soumis à une taxe forfaitaire.

D’autres types de véhicules peuvent bénéficier d’exonérations ou de réductions, comme les véhicules électriques ou hybride ou ceux utilisés par des personnes à mobilité réduite.

L’administration fiscale flamande (VLABEL) est responsable de la perception de la taxe de circulation en Flandre. À Bruxelles et en Wallonie, cette mission est assurée par le SPF Finances ou les administrations fiscales régionales. Ces organismes calculent et prélèvent la taxe de circulation annuelle, envoient les avis d’imposition et déterminent si un véhicule est éligible à une exonération ou une réduction.

Le paiement doit être effectué dans les délais impartis. Un retard peut entraîner une amende ou une majoration du montant initial.

Le calcul de la taxe de circulation en Belgique dépend de plusieurs paramètres. La Flandre, Bruxelles et la Wallonie appliquent des méthodes différentes, mais les principaux facteurs pris en compte sont :

La puissance fiscale influence en Belgique le montant de la taxe de circulation, la taxe de mise en circulation (BIV) et même la prime d’assurance.

Elle est calculée sur base de la cylindrée du moteur : plus le nombre de chevaux fiscaux est élevé, plus les taxes augmentent. En Flandre, les émissions de CO₂ sont également prises en compte, tandis que Bruxelles et la Wallonie appliquent une autre méthode de calcul.

La puissance fiscale (chevaux fiscaux) est obtenue en divisant la cylindrée du moteur (cm³) par 200. Par exemple, un moteur de 2000 cm³ aura une puissance fiscale de 10 chevaux.

En Flandre, la taxe est aussi modulée en fonction des émissions de CO₂ et du type de carburant, permettant aux véhicules plus écologiques de bénéficier d’une réduction fiscale.

Les véhicules émettant plus de CO₂ sont soumis à une taxation plus élevée. La norme Euro, qui définit le niveau de pollution d’un véhicule, est également un critère clé dans le calcul.
Les voitures électriques bénéficient actuellement d’une exonération ou d’une réduction significative de la taxe de circulation dans certaines régions.

Les voitures plus anciennes sont généralement soumises à une taxe plus élevée. De plus, les véhicules utilitaires légers et les voitures en leasing sont taxés selon d’autres grilles tarifaires que les voitures particulières.

Le système fiscal automobile en Belgique varie selon les régions. Les règles appliquées à Bruxelles et en Wallonie diffèrent de celles en vigueur en Flandre, rendant parfois la compréhension de la taxe de circulation plus complexe.

La taxe de circulation en Belgique est révisée chaque année, ce qui signifie que les tarifs et les réglementations pour les différentes catégories de véhicules sont régulièrement ajustés.

En 2025, plusieurs modifications importantes entrent en vigueur, notamment pour les véhicules hybrides et électriques. Voici un aperçu des changements à prévoir selon le type de véhicule.

Les avantages fiscaux pour les voitures électriques et hybrides évoluent en 2025. Alors que les véhicules hybrides étaient auparavant totalement exonérés de la taxe de circulation, certaines régions introduisent désormais de nouvelles taxes. Cela impactera directement le coût annuel pour les propriétaires de ces véhicules.

Depuis 2025, les hybrides rechargeables en Flandre bénéficient de moins d’avantages fiscaux. Seuls les modèles affichant une faible émission de CO₂ conservent un taux réduit pour la BIV et la taxe de circulation. Les hybrides avec une émission de CO₂ plus élevée sont désormais taxés presque au même niveau que les voitures essence et diesel.

À Bruxelles et en Wallonie, les véhicules hybrides restent pour l’instant fiscalement avantageux, avec des réductions sur la BIV et la taxe de circulation, en particulier pour les modèles affichant une faible émission de CO₂.

Attention : certains hybrides rechargeables plus lourds, comme les véhicules utilitaires légers, peuvent être soumis à un autre régime fiscal, ce qui peut représenter un avantage ou un inconvénient selon la région où vous immatriculez votre véhicule.

En Flandre, la taxe de circulation pour les voitures essence et diesel est calculée en fonction de plusieurs critères :

• La puissance : exprimée en chevaux fiscaux (CV).
• Les émissions de CO₂ : plus elles sont élevées, plus la taxe est importante.
• La norme Euro : les voitures modernes et plus respectueuses de l’environnement bénéficient d’une taxe réduite.

Consultez le site officiel du gouvernement flamand pour obtenir un aperçu détaillé des tarifs en vigueur.

Les véhicules utilitaires légers et les remorques sont soumis à des règles spécifiques :

• Véhicules utilitaires légers (jusqu’à 3,5 tonnes) : un montant fixe est appliqué en fonction de la charge utile.
• Remorques de plus de 750 kg : elles sont soumises à une taxe annuelle basée sur leur masse maximale autorisée (MMA).

Ces catégories de véhicules peuvent parfois bénéficier de réductions selon leur usage spécifique et leur impact environnemental.

Exception pour les camping-cars: En Flandre, la taxe de circulation des camping-cars est calculée en fonction de leur masse maximale autorisée (MMA). Dans certains cas, ces véhicules peuvent bénéficier de tarifs réduits. Il est recommandé de vérifier la réglementation en vigueur pour voir si votre véhicule est éligible à ces avantages fiscaux.

Comme mentionné précédemment, la taxe de circulation est perçue annuellement par VLABEL (l’Administration fiscale flamande) ou par les services fiscaux régionaux en Bruxelles et Wallonie. Mais quand exactement faut-il la payer ?

Dès l’immatriculation d’un véhicule auprès de la DIV (Direction pour l’Immatriculation des Véhicules), la taxe de circulation devient due, que ce soit pour un véhicule neuf ou d’occasion.

• Une fois le véhicule immatriculé, un avis d’imposition est envoyé par l’administration fiscale.
• Le propriétaire dispose d’environ deux mois pour effectuer le premier paiement.
• Par la suite, le paiement se fait chaque année, tant que le véhicule reste immatriculé.

Dans le cas des voitures en leasing, la société de leasing prend généralement en charge le paiement des taxes et de l’assurance, selon les termes du contrat.

La taxe de circulation continue de s’appliquer tant que le véhicule reste immatriculé. Lorsqu’un nouveau propriétaire inscrit le véhicule à son nom, il reçoit un nouvel avis d’imposition après l’immatriculation.

Par exemple : si vous achetez une voiture d’occasion en mai 2025, vous recevrez un avis d’imposition dans les deux mois suivant l’immatriculation.

En cas de vente à un particulier, c’est le nouvel acheteur qui reprend la responsabilité du paiement de la taxe de circulation. En revanche, si le véhicule est exporté ou radié auprès de la DIV, la taxe cesse automatiquement dès que l’immatriculation est officiellement annulée.

Pour éviter tout paiement supplémentaire, il est essentiel de procéder à la radiation officielle de la plaque d’immatriculation auprès de la DIV, garantissant ainsi que plus aucune taxe ne soit due.

Bien que la taxe de circulation soit une charge annuelle inévitable, il existe des stratégies pour en limiter le coût. En choisissant intelligemment votre véhicule ou en optant pour des formes d’immatriculation spécifiques, vous pouvez réduire vos dépenses annuelles.

Un véhicule avec une cylindrée plus petite et des émissions de CO₂ réduites entraîne automatiquement une taxe de circulation plus basse ainsi qu’une consommation de carburant plus économique. Puisque la puissance fiscale influence fortement le montant de votre taxe, il est judicieux d’opter pour un modèle qui obtient un score avantageux à ce niveau. Cela permet non seulement de réduire la fiscalité automobile, mais aussi d’économiser sur les coûts de carburant.

Pour les indépendants et certains particuliers, l’immatriculation en tant que véhicule utilitaire léger peut être fiscalement avantageuse, avec une taxe de circulation réduite. Cela s’applique aux fourgonnettes ainsi qu’à certains SUV répondant aux critères techniques requis, tels qu’un volume de chargement suffisant et l’absence de sièges passagers arrière.

De plus, les plaques temporaires peuvent être utiles pour les véhicules importés ou ceux utilisés seulement une partie de l’année, comme une voiture de sport destinée aux trajets estivaux. Cette solution permet parfois de reporter ou d’éviter certaines taxes.

Certaines exemptions et réductions existent également. En Flandre, les personnes en situation de handicap, les véhicules plus anciens et certains modèles fonctionnant avec des carburants alternatifs peuvent bénéficier d’une exonération ou d’une réduction de la taxe de circulation annuelle.

Dans certains cas, les indépendants et les entreprises peuvent également profiter d’avantages fiscaux, selon l’usage et l’immatriculation du véhicule.

Pour éviter les mauvaises surprises et prendre une décision éclairée, il est recommandé d’effectuer une simulation sur le site du Service Public des Finances ou via les autorités fiscales régionales. Cela vous permettra d’anticiper le montant exact de la taxe de circulation et d’identifier les opportunités de réduction de coûts disponibles.

En plus de la taxe de circulation annuelle à laquelle chaque propriétaire de véhicule doit faire face, il est également nécessaire de payer la taxe de mise en circulation (BIV). En résumé, il s’agit d’une taxe unique que vous devez régler lorsque vous immatriculez un véhicule à votre nom pour la première fois en Belgique. Cette obligation s’applique aussi bien aux voitures neuves qu’aux voitures d’occasion qui prennent la route sous votre propriété pour la première fois !

En Flandre, le montant de cette taxe est déterminé en fonction de plusieurs critères liés aux caractéristiques du véhicule. Le système est conçu pour tenir compte à la fois de l’impact environnemental et des spécifications techniques, ce qui permet un calcul en adéquation avec la charge réelle que votre voiture représente pour l’environnement.

En Wallonie, une réforme de la taxe de mise en circulation (BIV) est prévue à partir du 1er juillet 2025. Cette nouvelle méthode de calcul combinera les émissions de CO₂, le poids et la puissance du véhicule pour déterminer le montant à payer. L’objectif de cette réforme est clair : inciter les conducteurs à choisir des voitures plus légères, moins puissantes et plus respectueuses de l’environnement.

Cependant, la taxe de circulation annuelle restera inchangée. La nouvelle règle sur la BIV s’appliquera uniquement aux véhicules immatriculés à partir de la date d’entrée en vigueur de la réforme (source : wallonie.be).

La taxe de circulation en Belgique reste un élément clé du coût total de possession d’un véhicule. Avec les changements prévus en 2025, il est essentiel pour les conducteurs de bien comprendre leurs obligations fiscales. Les véhicules entièrement électriques bénéficient toujours d’une exonération, mais les avantages fiscaux pour les hybrides disparaissent progressivement. Par ailleurs, les émissions de CO₂ et les chevaux fiscaux continuent de jouer un rôle central dans le calcul de la taxe de circulation.

Les véhicules entièrement électriques bénéficient toujours d’une exonération, mais les avantages fiscaux pour les hybrides disparaissent progressivement. Par ailleurs, les émissions de CO₂ et les chevaux fiscaux continuent de jouer un rôle central dans le calcul de la taxe de circulation.

L’avenir de cette taxation demeure incertain. La Flandre introduira-t-elle un forfait minimum pour les voitures électriques ? La Wallonie et Bruxelles maintiendront-elles leurs avantages fiscaux ? Une chose est sûre : l’accent mis sur la mobilité durable ne fera que croître, et la taxe de circulation restera un levier important dans cette transition.

Comment éviter les mauvaises surprises ? Optez pour un véhicule à faibles émissions, renseignez-vous sur les formes d’immatriculation alternatives, et effectuez une simulation avant d’acheter votre voiture. Cela vous aidera à limiter les frais inattendus et à mieux maîtriser votre budget automobile.

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